trek belgique 3 jours

Randonnées de plusieurs jours à faire absolument

Besoin d’inspiration pour des randonnées de plusieurs jours en Belgique, dans un pays voisin ou même plus loin ? Nous avons rassemblé pour vous de superbes randonnées.

Que vous soyez à la recherche de plages ensoleillées, d’ascensions difficiles, de charmantes places de village ou de ruisseaux clapotants, la France comblera tous vos désirs. Explorez toutes ces merveilles à pied et logez dans un camping ou une confortable chambre d’hôtes.

GR 65 - La Lomagne

o   Distance : 53 km

o   Niveau : moyen

o   Plus longue ascension : 300 m

o    Pour : les amateurs de villages médiévaux

Le GR 65 serpente de Moissac à Lectoure. Avec ses 53 km et ses montées en pente douce jusqu’à 300 m, cet itinéraire est accessible à tous et séduira également les amateurs de villages médiévaux . Autres possibilités de visite : l’abbaye de Moissac, l’ancienne halle aux grains et le beffroi d’Auvillar ou Lectoure, le village des brocanteurs. En chemin, laissez-vous enchanter par les paysages verdoyants de la Lomagne , avec ses chênes et châtaigniers composant un patchwork féérique tout en lumière et en relief.

La traversée des Bauges

o   Distance : 130 km

o   Niveau : difficile

o   Plus longue ascension : 2 750 m

o    Pour : les randonneurs aguerris qui ne redoutent pas les montées raides

Envie de réveiller l’aventurier qui sommeille en vous ? Gravissez les 14 sommets de ce massif, dont l’Arcalod, avec ses 2 217 m, est le point culminant. Les amateurs de montagne pourront profiter sur 130 km des paysages de Savoie et de Haute-Savoie.

GR 340 – Le tour de Belle-île-en-Mer

o   Distance : 87 km

o   Plus longue ascension : 2 000 m

o    Pour : les randonneurs amoureux de l’Atlantique

Le GR 340, c’est 85 km de sentiers longeant le littoral atlantique . Au fil de 5 à 6 étapes, vous évoluez entre ciel et océan et devenez partie intégrante des paysages changeants. Ne vous laissez pas surprendre par le dénivelé qui totalise 2 000 m sur l’ensemble du parcours. Préparez-vous bien (physiquement) et prévoyez l’équipement adéquat.

Le tour de Belle-île-en-Mer

La Belgique ne se résume pas à des zones d’habitation linéaires et à des autoroutes. La marche à pied est le meilleur moyen de découvrir toutes les merveilles de la nature belge. Dans un mouchoir de poche, vous trouverez des forêts, des prairies, des rivières et de (modestes) sommets, sans jamais trop vous éloigner de l’hospitalité des villes et villages. Préparez votre boussole et mettez le cap sur ces promenades hors du commun.

Entre Lesse et Lomme

o   Distance : 78 km

o   Niveau : facile

o    Pour : les amoureux de la forêt et des ruisseaux

Explorer les merveilles des Ardennes pendant trois jours, en empruntant presque exclusivement des chemins de terre et des zones boisées  : voilà le tout nouveau programme entre Lesse et Lomme. Inauguré en 2018, ce parcours de 78 km vous propose de camper en chemin dans des zones de bivouac . Envie d’oublier la civilisation et votre smartphone pendant quelques jours ? Dans ce cas, cette randonnée est faite pour vous !

Parc national de la Haute Campine

o   Distance : 74,3 km

o    Pour : les marcheurs férus d’histoire

La beauté du parc national de la Haute Campine vous attire ? Cette promenade en boucle de 74,3 km est sans aucun doute le meilleur moyen de la contempler. Vous ne vous y perdrez pas seulement dans la nature : le passé minier est également encore très présent dans le paysage. De la gare d’As, qui héberge aujourd’hui un agréable café, au train restauré servant d’accueil aux visiteurs en passant par la réplique d’une tour de forage offrant une vue imprenable sur le site, en trois jours, vous parcourez la partie centrale et sud du parc .

RivierPark Maasvallei

o   Distance : 136,4 km

o   Niveau : moyen à difficile

o    Pour : les randonneurs expérimentés qui recherchent un itinéraire transfrontalier

Les randonneurs aguerris s’en donneront à cœur joie dans la Maasvallei. Cet itinéraire de plus de 130 km (possibilités de le raccourcir) serpente à travers plusieurs villages mosans . Partez à la rencontre des grands ruminants, des « grindplassen » et des herbes sauvages , avec la Meuse majestueuse pour constante compagne.

Le Chemin du souvenir

o   Distance : 96 km

o   Plus longue ascension : 1 447 m

o    Pour : les randonneurs qui n’ont pas froid aux yeux

Si vous voulez explorer la frontière orientale de la Belgique , le Chemin du souvenir est une bonne option. Depuis la charmante ville allemande de Monschau, vous traversez à pied Küchelscheid, Botrange, Sourbrodt, Ovifat, Robertville, Bütgenbach, Krinkelt, Rocherath et Hellenthal dans le parc national de l’Eifel , avant de revenir à Monschau en croisant plusieurs fermes. Plus qu’une promenade, cet itinéraire raconte aussi l’histoire des grandes guerres qui se sont déroulées ici. On parie que vous vous souviendrez aussi des 96 km et de la montée de 1 447 m ?

Sentier GR des abbayes trappistes

o   Distance : 290 km

o    Pour : les bons vivants équipés de solides chaussures de randonnée

Chimay, Orval, Rochefort : outre les célèbres bières trappistes, ce sont également les noms d’anciennes abbayes . Ce parcours de 290 km relie ces trois lieux et est divisé en deux parties : l’étape Chimay-Rochefort (174 km) et l’étape Rochefort-Orval (116 km). Plongez dans l’ambiance monastique et découvrez toutes les richesses de la Wallonie , sa nature et sa gastronomie. La combinaison idéale pour se dégourdir les jambes et les glisser sous la table.

Abbayes trappistes

La Transgaumaise (Belgique et France)

o   Distance : 140 km

o    Pour : ceux qui ont déjà exploré tous les recoins des Ardennes

La Wallonie ne se résume pas aux Ardennes. Pour en explorer une autre facette, parcourez donc la Transgaumaise, qui relie la Gaume belge à la Lorraine française. Cette boucle de 140 km est une randonnée difficile, mais vous récompense par un microclimat ensoleillé, la couleur dorée de charmantes maisons, et la visite de l’abbaye d’Orval et d’un des plus beaux villages de Wallonie, Torgny. Vous pouvez également faire le parcours à VTT .

Transgaumaise

Le Luxembourg est surnommé « le poumon vert de l’Europe ». À juste titre, car vous randonnez ici dans des forêts féériques, le long de rivières de montagne clapotantes et de villages authentiques. Et même si le Luxembourg n’est pas très grand, il compte pas moins de 500 km de sentiers de randonnée balisés .

o    Pour : les randonneurs expérimentés qui aiment les dénivelés et montées abruptes

« Lee » signifie « crête » en luxembourgeois. Et vous le ressentirez dans les fessiers pendant la randonnée, car cet itinéraire vous fait passer de vallées encaissées à de hauts sommets. Le Lee Trail vous emmène au cœur du Luxembourg sur 53 km. En trois jours , vous allez d’Ettelbruck à Kautenbach et pouvez admirer un paysage varié composé de forêts et rochers , de prairies fleuries colorées et de villages pittoresques . Arrêtez-vous régulièrement pour prendre une photo de la vue impressionnante.

©Visit Éislek

Mullerthal Trail

o   Distance : 112 km

o   Pour : les jeunes et moins jeunes randonneurs qui aiment les dénivelés

Les connaisseurs qualifient souvent le Mullerthal Trail de plus beau sentier de randonnée du Luxembourg . Il traverse une région connue sous le nom de « Petite Suisse » en raison de ses formations rocheuses et de son impressionnante beauté naturelle. En chemin, vous traversez toute une gamme de paysages, alternant les forêts féériques, les rivières calmes et les magnifiques formations rocheuses .

Mullerthal trail

Louez votre équipement

Vous avez envie, vous aussi, de vivre ce type d’aventure, mais vous ne disposez pas d’un équipement de qualité  ? Ou vous souhaitez d’abord essayer tel nouveau sac à dos de trekking ? Bonne nouvelle : chez A.S.Adventure, vous pouvez également louer votre équipement. Locations d’au moins une nuit , à la carte.

Vous avez envie de vous balader le long de rivières et à travers des paysages vallonnés, mais sans ascensions raides ? Alors, les Pays-Bas sont la destination de randonnée de rêve. Nous vous y avons déniché quelques jolis itinéraires. Il ne vous reste plus qu’à étirer vos muscles avant de vous mettre en route.

Veluwe Zwerfpad

o   Distance : 375 km

o    Pour : les randonneurs désireux de voir des animaux sauvages (ou au moins leurs traces)

La Veluwe est une magnifique réserve naturelle qui ne cessera de vous surprendre avec ses immenses dunes , ses vastes landes de bruyères et ses paysages vallonnés . En tant que randonneur, vous avez toutes les chances d’apercevoir des animaux sauvages tels que des cerfs, des chevreuils, des sangliers et des mouflons. Cet itinéraire long de 375 km traverse le Veluwezoom, le Kootwijkerzand, le Loenermark et le parc national De Hoge Veluwe. Les amateurs d’art apprécieront également l’originalité du musée Kröller-Müller.

o   Distance : 498 km

o    Pour : les amateurs des paysages et de l’hospitalité néerlandais

Le Pieterpad fait partie des grands classiques de la randonnée aux Pays-Bas. Il s’étend sur près de 500 km de Pieterburen, sur la côte de la mer des Wadden au nord de Groningue, à Sint-Pietersberg, dans le sud du Limbourg. L’itinéraire comprend 26 étapes à travers les vasières de Groningue, les sols sablonneux de la Drenthe, le parc national Sallandse Heuvelrug, le verdoyant Achterhoek, le Montferland et enfin les étendues variées du Limbourg.

Sortez des sentiers battus grâce à ces impressionnantes randonnées longue distance en Suède, en Angleterre, en Irlande, en Autriche, en Slovénie et en Italie. Comptez quelques jours ou semaines pour effectuer l’intégralité des itinéraires. Vous pouvez aussi découper chaque randonnée en plusieurs tronçons. De quoi bien occuper vos vacances durant les prochaines années.

Kungsleden ou Chemin du roi (Suède)

o   Distance : 425 km

o   Point culminant : 1 150 m

o    Pour : les randonneurs ambitieux et expérimentés

Les randonneurs aguerris s’en donneront à cœur joie le long des 425 km du Kungsleden , dans la sublime Laponie suédoise. Vous pouvez y camper partout toute l’année, mais n’oubliez pas que l’itinéraire à proprement dit n’est accessible que de juin à septembre . En chemin, vous traverserez des lacs en canoë et gravirez plusieurs sommets, dont le col de Tjäkta qui culmine à 1 150 m d’altitude. Cette route mythique est en service depuis la fin du XIX e  siècle. La Svenska Turistföreningen la recommandait aux gens désireux de découvrir la beauté de la Laponie.

Kungsleden ou Chemin du roi 

Alpe Adria Trail (Autriche, Slovénie et Italie)

o   Distance : 750 km

o   Plus longue ascension : 1 114 m

o    Pour : tous ceux qui rêvent d’une randonnée longue distance internationale

Ce sentier est considéré comme l’ une des plus belles randonnées longue distance d’Europe. Vous pouvez en profiter sur pas moins de 750 km. Au départ du Grossglockner dans les Alpes, vous traverserez la Carinthie en Autriche, l’Italie et la Slovénie jusqu’à la mer Adriatique. Malgré son impressionnante longueur, cette randonnée n’est pas difficile. À l’exception du Grossglockner, le plus haut sommet d’Autriche. Il n’y a que quelques refuges de montagne le long du chemin. Vous devrez donc plutôt marcher d’hôtel en hôtel.

Alpe Adria Trail

Beara Way (Irlande)

o   Distance : 206 km

o   Dénivelé total : 5 245 m

o   Pour : les randonneurs expérimentés vêtus d’un imperméable coupe-vent

Envie de découvrir les paysages sauvages de l’Irlande ? Ce sentier exigeant de 206 km forme une boucle à travers les splendeurs du littoral atlantique . Il vous faudra avaler plus de 5 000 m de dénivelé pour apprivoiser la péninsule sauvage , avec ses montagnes, ses lacs, ses monuments funéraires et ses menhirs préhistoriques. Le vent sera votre compagnon de route.

St Cuthbert’s Way (Royaume-Uni)

o   Distance : 100 km

o   Plus longue ascension : 1 730 m

o    Pour : les passionnés d’histoire

Le St Cuthbert’s Way est un magnifique sentier qui traverse imperceptiblement l’Angleterre et l’Écosse. Comptant parmi les plus beaux itinéraires de randonnée du Royaume-Uni, ce sentier de 100 km enchaîne une variété de paysages et de panoramas et enchantera les marcheurs inexpérimentés. Parmi les sites à ne pas manquer, on peut citer les abbayes de Melrose, Jedburgh et Dryburgh, ainsi que les légendaires collines d’Eildon. Avec Holy Island , une île uniquement accessible à pied et à marée basse, il s’agit de la principale attraction de la promenade.

St. Cuthbert’s Way

Avec les enfants

Les vacances de randonnée ont de quoi ravir toute la famille, à condition de choisir un itinéraire adapté. Concrètement : un itinéraire qui n’est pas trop long et qui est ponctué de curiosités, si possible dans une région ensoleillée. Et si en plus il y a une plage à proximité, vous avez tout bon.

Parc national Thy (Danemark)

o   Distance : 72 km

o   Pour : les familles avec (jeunes) enfants

Le relief plat du Danemark est idéalement adapté aux petits pieds des enfants. Au gré de cinq étapes , vous parcourrez les paysages diversifiés du parc national : forêts, dunes et même plages. La plupart des chemins sont accessibles au chariot à main, même si vous devrez affronter le sable meuble de la plage. Mais en récompense de vos efforts, vous pourrez y faire des châteaux de sable !

Parc national Thy

Le Tour des Lacs d’Ayous (France)

o   Distance : 14 km

o   Plus longue ascension : 800 m

o   Pour : les marcheurs enthousiastes, prêts à tenter leur première ascension

Dans la vallée d’Ossau, votre enfant pourra s’extasier devant une palette de paysages spectaculaires. Cette randonnée en boucle vous fera découvrir six lacs qui émerveilleront les participants de tous âges. Malgré un dénivelé de 800 m – garant de vues panoramiques spectaculaires – cette randonnée est à la portée de toute la famille.

Le Tour des Lacs d’Ayous

Sentier d’art de Gesves à Ohey (Belgique)

o   Distance : 51,9 km

o   Pour : les familles qui aiment l’art et la nature

Les petits amateurs d’art ne trouvent pas seulement leur bonheur dans les musées. Dans le Condroz, l’art est mis à l’honneur sur plus de 50 km, en plein air. Outre du Land Art, vous trouverez également des aires de bivouac sur le parcours, ce qui vous évitera d’avoir à vous écarter de l’itinéraire. En plus de 31 œuvres d’art, vous pouvez également visiter le château d’Hodoumont et les grottes de Goyet. Il y en a vraiment pour tous les goûts.

Que faut-il savoir avant de partir ?

Tenez compte du terrain où vous allez randonner (surface, relief plat ou vallonné, région pluvieuse ou non) et de la saison à laquelle vous voyagerez. En été, des chaussures plus légères seront peut-être plus adaptées. Vos pieds, mais aussi vos jambes et votre dos vous remercieront. Nous vous aidons à choisir les chaussures de randonnée adéquates .

En plus de chaussures solides, il vaut aussi la peine d’investir dans un bon sac à dos et une veste imperméable respirante . Si vous voulez immortaliser vos aventures, n’oubliez pas d’apporter votre appareil photo et éventuellement une batterie supplémentaire. Votre gourde réutilisable fera évidemment aussi partie de l’expédition. Utilisez notre check-list pour être sûr de ne rien oublier.

Après avoir préparé tout votre équipement, assurez-vous d’avoir une bonne condition de base, en fonction du niveau de la randonnée que vous avez choisie. Calculez le nombre de kilomètres que vous comptez parcourir par jour, et programmez une randonnée d’entraînement. Vous saurez ainsi si votre estimation est réalisable ou si elle doit être revue à la baisse.

Entretien des chaussures de randonnée

Vous avez parcouru de nombreux kilomètres avec vos chaussures de randonnée ? Offrez-leur régulièrement un grand entretien . Vous prolongerez ainsi leur durée de vie et en améliorerez les performances.

Vous préférez confier cet entretien à un professionnel ? Notre atelier d’entretien interne prend bien soin de vos chaussures pour les préparer avant de nouvelles aventures. Saviez-vous que vous pouvez utiliser vos éco-chèques pour payer notre service de réparation ?

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Guide de la randonnée en Belgique - Trekking en Belgique

Cette page va vous présenter les possibilités de randonnées et de trekking en Belgique. Vous trouverez des fiches sur les divers sommets, lacs ou refuges mais aussi des idées de treks et les voyages organisées par les agences spécialisées dans la randonnée, le trekking et les voyages nature .

Présentation

Informations pratiques, les randonnées en belgique.

Un pays à découvrir pour sa richesse culturelle. Intéressant pour sa proximité avec la France qui en fait un lieu rêvé pour profiter d'un week end bucolique. Un grand nombre de sentiers de grande randonnée sillone le pays. Les Ardennes sont un exemple frapant de ce que le randonneur peut découvrir en Belgique : valon, bois, villages, collines. Le site grsentiers.org vous donnera de nombreuses informations concernant les randonnées à faire en Belgique. Vous pourrez ainsi acheter des topos-guides précis pour préparer vos itinéraires.

La meilleure période pour randonner va de juillet à septembre.

Transardennaise® ou la Grande Traversée de l’Ardenne (ou GTA)

C'est une randonnée linéaire de 160 km entre La Roche et Bouillon traversant les vallées de l’Ourthe, du Laval, de la Masblette, de la Lesse, de l’Our avant de rejoindre la vallée de la Semois.

La Transgaumaise®

Randonnée en boucle de 140 km autour de Virton dans ce que l’on surnomme la « petite Provence belge ». Un itinéraire transfrontalier qui rejoint Torgny, Montmédy (F) – Marville(F) avant de traverser la frontière au niveau d’Orval, et rejoindre Virton, via Florenville et la vallée de la Semois.

La Transfamenne®

Liaison de 29 km entre Nassogne et Hotton. Cet itinéraire peut s’intégrer dans une randonnée en boucle : il relie Nassogne - Marche-en-Famenne - Hotton avant de rejoindre le GR 57 de la vallée de l’Ourthe reliant Hotton à La Roche-en-Ardenne et ensuite, Nassogne via Sainte-Ode – Saint-Hubert.

GR16 - sentier de la Semois La Semois est sans conteste une des plus belles rivières de Wallonie. Elle méritait donc qu'un sentier GR lui soit entièrement dédié et qu'un topo-guide lui soit consacré. Et ce GR 16 - sentier de la Semois - est certainement l'un des plus beaux itinéraires qu'un randonneur puisse parcourir en Belgique ! D'Arlon à Monthermé, sur une distance de 202 kilomètres, le randonneur fera étape à Florenville et à Bouillon ainsi que dans de nombreux petits villages caractéristiques où il sera toujours bien accueilli. ( voir le topo-guide )

Sentier Saint-Jacques de Compostelle : Via "Gallia Belgica" De Hélécine à Saint-Quentin (itinéraire de 223 kilomètres) via Jodoigne, Nivelles, Seneffe, Waudrez (Binche), Maubeuge, Aulnoye-Aimeries, Maroilles. Le sentier part du Domaine provincial du Brabant Wallon et se situe sur l'itinéraire de la "Niederstrasse" Compostela. Cet ancien itinéraire était parcouru autrefois par les pélerins allemands et hollandais se rendant à Compostelle.

Parc naturel des plaines de l'Escaut

Le réseau transfrontalier d'itinéraires de promenades et de découverte vous mène de part et d'autre de la frontière : 450 kilomètres s’offrent aux cavaliers, cyclistes, VTtistes et marcheurs de tous niveaux.

Pour randonner malin, le Parc naturel des Plaines de l'Escaut a édité une série de documents que vous pouvez facilement glisser dans le sac à dos. Deux cartes transfrontalières de la randonnée (cycliste et pédestre)vous présente tous les itinéraires balisés et vous renseigne sur les ambiances paysagères traversées. Pour connaître les moindres détails des itinéraires, demandez les fiches rando! Elles se glissent dans la poche et vous indiquent les points d'intérêt du circuit parcouru, les difficultés potentielles et des idées de visites.

Se balader au grand air en faisant des haltes régulières pour en apprendre davantage sur le patrimoine local, c’est encore possible grâce à la Route paysagère ! Cette route balisée et jalonnée de panneaux d’interprétation est détaillée dans une carte disponible gratuitement.

Sentiers.be, tout sur les chemins et sentiers publics de Wallonie ! L’association Sentiers.be s’investit dans la promotion et la défense des chemins et sentiers pour les usagers non-motorisés dans le cadre des loisirs et des déplacements quotidiens. Elle oeuvre au maintien et au développement d’un réseau adapté aux déplacements doux reliant les villes, villages, quartiers et centres d’intérêt collectif. Enfin, elle sensibilise à une gestion durable des petites voies publiques garantissant leurs rôles environnemental, social et économique. Voir le site sentiers.be

Les treks proposés par les agences

Voici les treks et les randonnées proposées par les agences de trekking référencées sur randozone. Avant de partir il faudra bien vérifier le niveau requis pour chaque voyage en fonction de votre forme physique et de ce que vous voulez faire.

Belgique, la Grande Traversée de la Wallonie

De la Vallée de la Meuse à la Petite Provence Belge la découverte de la Wallonie et de ses nombreux châteaux et abbayes au départ de Namur splendide région du sud de la Belgique

Agence : LA BALAGUERE

Voyage Belgique

2 voyages d'aventure en belgique.

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• Fonctionnalités

Les plus belles promenades et randonnées en Belgique

La Belgique, ce plat pays… Eh bien détrompez-vous, car il ne l’est pas tant que ça ! Si la Flandre au nord du pays est effectivement plate, la Wallonie au sud est quant à elle vallonnée. Certes, il n’y a pas de montagnes en Belgique, mais vous serez étonné de trouver une diversité incroyable de paysages dans un si petit pays. Du Sahara à la Sibérie, en passant par le Canada, vos randonnées en Belgique auront de quoi vous surprendre. 

En plus des paysages, la Belgique offre également un impressionnant éventail de langues et d’influences culturelles. Quoi de mieux que d’explorer le pays à pied ? Le réseau ferroviaire belge est l’un des plus denses au monde et les plus belles randonnées ne se trouvent qu’à quelques gares des grandes villes. 

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Autour du barrage de Nisramont près de La Roche-en-Ardenne - Ardennes belges

Tour de plaisir 12 : "le grand tour des fagnes" mont rigi - randonnée pédestre dans les cantons de l'est.

On vous montre le chemin avec l'application komoot

Excursion gourmande 16 : "les sommets de la warche" xhoffraix - randonner dans les cantons de l'est, vues panoramiques, rochers et torrents à xhoffraix - ardennes belges, parcours 7 : le calme de l'eau, à bütgenbach — randonner dans les cantons de l'est, excursion gourmande 21 : "un autre monde" petergensfeld, terhills - sentier de randonnée violet, promenade des echelles - boucle depuis rochehaut dans le parc national de la vallée de la semois, tour de plaisir 8 : "un château trône dans la vallée de la warche" robertville - randonner dans les cantons de l'est, inscrivez-vous pour plus de randonnées et conseils de notre communauté.

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Et si on partait pour une microaventure en Ardenne ? Prenez votre sac-à-dos, votre tente et vos chaussures et partons ensemble à la découverte des forêts infinies de l’Ardenne. Laissons-nous nous emporter par la magie d’un bivouac. L’Ardenne est un territoire où l’aventure coule dans les veines de chaque arbre. Souvent décriée, il faut apprendre à la connaître et apprivoiser ses bois pour en révéler toute sa richesses. Venez, je vous donne 4 idées rando et bivouac en Ardenne.

4 idées de rando et bivouac en Ardenne

1. bivouac hivernal dans les hautes fagnes.

Avec cette rando et bivouac en Ardenne hivernal, je vous emmène sur le Plateau des Hautes-Fagnes. Point culminant de la Belgique, ce plateau est connu pour sa vaste zone de landes. Ces dernières sont des caractéristiques des différents plateaux ardennais mais c’est ici qu’elles couvrent la plus vaste superficie. En 2018, lorsque la neige a couvert furtivement le Royaume, je suis parti avec des amis pour vivre un weekend quasi sibérien en raquette.

Passer des contrées agricoles à une Scandinavie miniature est une des richesses du territoire ardennais. Au départ, nous devions parcourir une distance beaucoup malheureusement la neige nous a énormément ralentis. Bien que ce parcours ait été réalisé sous la neige, il est évidemment tout à fait praticable en d’autres saisons. Dans ce cas, il sera alors tout à fait possible pour les plus sportifs de le réaliser à la journée. Avec ce parcours, vous découvrirez une zone du plateau peu connue et moins fréquentée que la célèbre Fagne wallonne.

2. Rando et Bivouac autour de Saint-Hubert

J’avais cette rando et bivouac en Ardenne en tête depuis longtemps. En effet, j’avais longuement scruté les cartes IGN autour de Saint-Hubert et je m’étais toujours dit qu’il était possible de faire le tour de Saint-Hubert sans croiser la civilisation (ou presque). De cette longue recherche est né cette idée de randonnée qui s’est concrétisée l’hiver dernier. J’ai eu l’occasion de faire le parcours deux fois et à chaque fois, j’ai pris un plaisir inouïs à vivre 36heures totalement coupé du monde.

Certes l’aire de bivouac du Golet n’est pas la plus belle. Qu’importe, les paysages sont tellement magiques entre le dénivelé de la vallée de la Lhomme, la fagne sur le Plateau et les hêtraies infinies que l’on traverse que l’on oublie vite ce petit désagrément. En tout cas, c’est assurément l’un de mes plus beaux tracés ! Certes, il n’est pas facile. La longueur du premier jour (35km pour atteindre le bivouac) en fatiguera plus d’un mais le deuxième jour est plus court avec 20km de pur bonheur. Quoiqu’il en soit, j’espère que vous aurez autant de plaisir que moi lors de votre microaventure.

3. Microaventure dans l’Ourthe orientale : Sur les traces du loup en Ardenne

Depuis la publication de l’article, le loup est bel et bien revenu en Ardenne. Les fantasmes ont disparu au profit des observations avérées. Il n’en reste pas moins que le caractère sauvage et intrinsèque du loup s’applique parfaitement à la vallée de l’Ourthe orientale. En effet, je rêvais depuis longtemps de partir à la découverte de cette vallée méconnue et sauvage de la Haute Ardenne. En partant du Plateau des Tailles, j’étais assuré de croiser une multitude de paysages. Des larges forêts de sapin à la sombre et profonde vallée, cette randonnée vous offrira un bon bol de dépaysement !

C’est par une froide nuit de janvier que nous avons décidé d’explorer avec des amis cette contrée alors inconnue. Accompagnés par la brume et la neige, j’ai vécu l’un de mes bivouac les plus glacials. Perchés dans une sapinière humide, je me souviens avoir peiné comme jamais pour allumer le feu. Tout était détrempé par la neige. Nous avons réussi péniblement à allumer et surtout maintenir le feu durant la soirée. Devant les flammes dansantes et l’alcool de nos bouteilles, nous avons pris plaisir à nous raconter nos histoires comme de vieux marins à quai. Le lendemain, c’est sous des flocons fondus que nous avons continuer notre errance le long de cette rivière insaisissable : l’Ourthe.

4. Rando et Bivouac sur le Plateau des Tailles

Je ne pouvais pas terminer cette liste sans vous proposer une escapade automnale. Cette saison est sans doute la plus emblématique de l’Ardenne. Les forêts se couvrent d’or. Le cerf éructe du tréfond de la forêt. Les baies et champignons font le bonheur des randonneurs. Parmi mes endroits préférés en cette saison, il y a le Plateau des Tailles. Giboyeux et immense, c’est un terrain de jeu sur lequel je ne me lasse jamais. S’y promener, c’est être assuré de croiser de nombreux animaux sauvages surtout à la période du brame.

Lorsque j’ai réalisé cette randonnée. Il faisait tout simplement magnifique. Les couleurs de l’automne commençaient seulement à poindre. Les cerfs faisaient résonner la forêt de leurs cris rauques. La nuit de ce bivouac, ils n’ont d’ailleurs pas cesser de bramer de toute la nuit. Blottis dans nos duvets, nous assistions à cet opéra de sauvagerie, magnifique et théâtral. Et dans l’insouciance du matin, le roi de la forêt nous a fait audience et nous a permis de contempler toute sa majesté . C’est le genre d’instant magique que vous gardez à jamais en souvenir.

Attention : l’aire de bivouac de Colas est désormais fermée. Je vous conseille de trouver une alternative via HomeCamper ou de prendre un gîte dans le coins.

Rando et bivouac en Ardenne

Microaventure en ardenne.

Prendre son sac-à-dos, sa tente et ses chaussures et s’enfoncer dans la forêt d’Ardenne constituent sans aucun doute la microaventure par excellence à vivre en Ardenne. En effet, les sentiers infinis traversent l’Ardenne de part en part. Comme des veines sylvestres, ils irriguent la forêt d’échos et de rumeurs construisant ainsi les légendes qui habitent au coeur des bois. Partir à l’aventure ne nécessite pas forcément d’aller loin. Il suffit de quitter le confort d’un lit douillet, s’enfoncer dans la grande forêt d’Ardenne pour oublier le tumulte de la civilisation.

Les nombreux massifs forestiers qui couvrent l’Ardenne offrent tellement de paysages différents et variés à qui prend la peine de les regarder. La proximité avec Paris, Bruxelles, Charleville-Mézières, Namur ou encore Liège fait de l’Ardenne la première zone de pleine nature pour de nombreux urbains en quête de déconnection. Dans cette perspective, la richesse des microaventures tient dans leur pouvoir de vous déconnecter en un minimum de temps pour vous reconnecter à la nature.

En quelques heures, vous pouvez vous retrouver au coeur de la forêt, de landes gothiques ou sur de tortueuses rivières. Le rêve non ?

Conseils : Randonnée en Ardenne

La randonnée en Ardenne est sans doute le coeur, l’essence même du territoire. En effet, il existe des milliers de kilomètres de sentiers qui parcourent de part en part le massif ardennais. Entre les plateaux ardennais relativement plats, les vallées encaissées de l’Ourthe, de la Semois ou de la Lesse et les landes tourbeuses, l’Ardenne est le paradis du randonneur. En quelques kilomètres vous pourrez vous retrouver tantôt dans une fagne totalement ouverte tantôt dans une forêt aussi profonde que sombre !

Cette richesse ne doit cependant pas occulter le danger que les sentiers ardennais (et belges) encourent. D’un côté, entre la période de la chasse souvent prolongée et les grands propriétaires terriens qui tentent de s’approprier les chemins publics, les sentiers sont en danger ! D’un autre côté, il n’est pas rare de voir des chasseurs, forestiers et propriétaires outrepasser leur rôle. De plus, ces derniers usent d’une signalétique volontairement trompeuse et/ou abusive.

Pour randonner en Ardenne, il vous faudra désormais connaître le code forestier wallon en vigueur. Puisque chasseurs et propriétaires tentent d’abuser de leur position, connaître le code forestier n’est pas seulement une manière de connaître ses droits mais un acte citoyen pour garantir la liberté de circulation en forêt ! Ces mises en garde ne doivent absolument pas vous empêcher de randonner en Ardenne. Bien au contraire, hors saison, vous aurez encore la possibilité de passer 48heures et plus totalement seul dans la forêt. Et ça, c’est une richesse inestimable au regard de la frénésie quasi hystérique des villes.

Conseils : Bivouac en Ardenne

En Belgique, contrairement à de nombreux pays européens, le bivouac est interdit. Il faut en être conscient quand vous regarderez les randonnées que je vous propose ci-dessous. Pour palier à ce manque, de nombreuses initiatives ont été mises sur pied afin d’établir en pleine forêt des zones de bivouac autorisé. Ces aires sont des espaces sommaires et délimités par des piquets de bois. La majorité d’entre-eux disposent d’un espace pour faire un feu.

Malheureusement, l’absence de culture “Outdoor” en Belgique et aux Pays-Bas provoquent leur disparition alors qu’elles sortent à peine de terre. En effet, certains confondent bivouac et camping. Ainsi lors d’une randonnée à l’automne 2018 que j’organisais, je suis tombé sur une famille qui avait installé sa tente de camping longue durée et avait emmené avec elle cuisinière au gaz, casiers de bière, le chien et la sono ! Oui, oui vous lisez bien ! Complètement dingue ! Alors que je venais de faire 20 bornes avec 15 kg sur le dos, je n’aspirais qu’à poser ma tente et passer une soirée calme au coin du feu. Impossible !

Avec le Covid, cette tendance n’a fait que s’accentuer. Il en a découlé la fermeture de bon nombre d’aires de bivouacs sur le territoire d’Houffalize. Certains articles ayant été écrits AVANT leur interdiction, je vous encourage à prendre connaissance par vous même de leur suppression/modification. Néanmoins, il en reste encore quelques unes aujourd’hui. Il convient donc de protéger ces aires de bivouac. Pour cette raison, vous ne trouverez jamais l’emplacement exact des aires de bivouac utilisées lors de la randonnée.

Pas envie de partir seul(e) ?

Vous avez envie de vivre ces aventures ? Vous avez des craintes de faire votre premier bivouac en Ardenne ? Pas de soucis, j’organise avec Cairn Outdoor des aventures en tout genre en Ardenne (programmés ou à la carte). Vous retrouverez le programme des randonnées ci-dessous :

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13 commentaires.

Merci pour ces infos !

Avec plaisir !

Bravo pour tes périples ! Les photos sont magnifiques et très artistiques ! Tu travailles avec quoi comme appareil photo ?

Hello Adrien, merci pour ton commentaire, cela me fait très plaisir ! Je suis chez Nikon (je suis Ambassadeur Nikon d’ailleurs). Là, toutes les photos ont été prises avec un Nikon D850. N’hésite pas si tu as des questions 😉

Au top! Je viens de découvrir ton site, et c’est un bonheur de s’y promener. De la région liégeoise, je me lance dans l’aventure aussi, et toujours preneur de nouveaux conseils/expériences/idées. J’attaque en ce moment le GR57 (en différentes étapes) mais tes idées seront à considérer pour la suite 😀 Merci ! (PS : Canon pour ma part :p)

[…] 4 idées rando et bivouac en Ardenne | Les Sentiers du Phoenix […]

Arrivé ici depuis le vlog de Noody Prod, après une première nuit en bivouac… . Fantastique de découvrir votre passion pour les Ardennes ! (PS : désolé ex-Nikon, Sony – une question de poids… )

J’ai rencontré ton papa ce matin qui m’a parlé de ton site . En tant qu’originaire de Bohan en Ardennes que tu sembles bien connaître je partage ton amour de notre belle contrée et de tout ce qu’elle nous permet de vivre . Je te souhaite de connaître le bonheur dans l’aventure de ta vie . Amicalement . Yvan Gilliaux

Pense tu que ces randonnées sont accessible à des novices en la matière ?

Bonjour Hélène, je pense que c’est accessible. Je te suggère d’aller voir les détails de chacune car certaines sont plus longues que d’autres ;). N’hésite pas à revenir vers moi si tu as besoin de davantage d’informations ;). Autrement, n’hésite pas à faire un tour sur http://www.cairn-outdoor.com où je propose différentes activités adaptées. Porte toi bien !

Alors bonjour à toutes et à tous je suis encore mineur j’ai 17ans et demi et je me pose tellement de question si quelqu’un peut m’aider merci beaucoup mes questions sont les suivantes : Comment trouver les aires de bivouac ? Est ce que malgré mon âge je peut faire l’aventure ? Et est ce possible en Ardennes d’en faire ?

Bonjour, merci beaucoup de partager votre passion et vos précieux conseils. Pourquoi n’avez-vous pas appelé la Police ou le garde forestier pour faire constater et verbaliser les “campeurs” présents sur le bivouac? Cela reste une infraction et plutôt que de rouspéter sur internet, prenez action directement (la Loi vous y autorise) en les signalant et en faisant respecter la Loi.

Je ne rouspète pas sur Internet comme vous dites. Je prends acte d’une situation vécue et qui, pour le coup, a vu la présence du bourgmestre et des agents DNF. Donc, les autorités étaient très bien prévenues. Sinon pour revenir au sujet qui nous intéresse, “la loi m’y autorise” certes et je vous assure que je l’utilise mais après près de 6 ans à faire le métier de guides. Je peux vous affirmer que si la “loi my autorise”, ce type d’infraction n’est pas du ressort de la police mais du DNF. Or ces derniers ne se déplacent presque jamais… Une fois qu’on sait ça, on en viendrait presque à “rouspeter” sur internet 😉

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3 jours en randonnée itinérante dans les Dolomites

Vous cherchez un peu d’inspiration pour partir quelques jours dans les Dolomites à pied? Giovanna, qui s’est inspirée en partie de notre voyage du  Lac de Braies aux Tre Cime de Lavaredo  , vous emmène dans ce billet de blog pour 3 jours en randonnée itinérante dans les Dolomites à la découverte de quelques-uns des lieux les plus iconiques de ce massif. Retrouvez la carte de cet itinéraire de trek 3 jours de rando dans les Dolomites en bas de l'article.  

Les Dolomites du Lac de Braies aux Tre Cime  

Jour 1 : Du Refuge Auronzo à Prato Piazza – 26 km/1330 m D+

Pour ce premier jour, le réveil sonne très tôt, car nous savons que la première étape de notre périple à pied sera très longue. Ce matin, l’efficacité est au rendez-vous : yoga à l’aube, petit déjeuner, rapide brossage des dents, sacs sur les épaules et c’est parti pour aller à la découverte des Dolomites « authentiques et sauvages », qui marque le début de ces 3 jours de randonnée dans les Dolomites.

Quitté le refuge Auronzo où nous avons passé la nuit, nous empruntons tout de suite l ’autoroute des Tre Cime (autrement connue comme le chemin 101), pour peu après bifurquer vers la sortie 104, au niveau du refuge Lavaredo (2344 m).

Ce changement de direction marque notre séparation de la foule des touristes venus pour admirer les Tre Cime… et juste ça. Le sentier 104 contourne le Monte Paterno en traversant des immenses pâturages verts où des troupeaux de vaches téméraires nous barrent le chemin.

Passé le royaume des ruminants, nous pénétrons dans la «  Marmot Valley  », un véritable paradis aux yeux de Giovanna. Ici, de grosses marmottes nutritionnellement prêtes à affronter un rude hiver somnolent paisiblement sur les rochers, avant de s’enfuir en toute vitesse ver les pentes herbeuses à l’approche de quelques rares randonneurs, en faisant preuve d’une agilité inattendue.

Puis, le chemin monte doucement jusqu’au Lac – asséché – de Cengia (2324m), où il se transforme en une succession de virages bien plus raides qui mènent au Pian di Cengia, à 2602 m d’altitude.

De là, nous tournons à droite sur le chemin 101 afin de rejoindre le Refuge Locatelli (2405 m), connu pour son splendide belvédère s’ouvrant sur la face Nord des Tre Cime. Sur sa terrasse, nous retrouvons le fourmillement des touristes armés de perches à selfie et appareils photos, de laquelle nous sommes contents de nous échapper en empruntant le moins parcouru sentier 102.

Très longue descente (2 h 10, 1000 D- !) qui plonge dans le Val Rinbon avec sa forêt de conifères, puis longe le Fiume Rienza, pour ENFIN arriver à Landro (1406 m).

Ici, deux options s’ouvrent à nous : suivre la route vers le sud jusqu’à Carbonin pour ensuite prendre un chemin forestier menant au refuge Prato Piazza (notre destination d’aujourd’hui), ou bien atteindre celui-ci par l’Alta Via des Dolomites 34.

Courageux (ou masochistes) nous choisissons la deuxième variante : malgré les 800 mètres de dénivelé positif, dont la plupart parcourus sur une montée escarpée, nous ne regrettons pas notre décision car l’itinéraire nous réserve différentes surprises : des lacets TRES raides agrémentés de racines piégeuses et des champignons solitaires, la traversée d’une grotte qui se termine sur un passage aérien avec main-courante, et un fort datant de la première guerre mondiale à côté du «  Monte Strudel  » (Strudelkopf). Tout cela, avec en arrière-plan les Tre Cime, qui nous surveillent de loin et ne cessent de nous encourager.

A Strudel Sattel (2200 m) nous commençons à descendre jusqu’au haut plateau de Prato Piazza, en passant par un alpage peuplé de vaches de toute couleur.

A 17 h 30 – après sept heures et demie de marche effective et plus de 1300 mètres de dénivelé positif, nous voilà enfin arrivés au fleuri à Prato Piazza (1981 m), ou – comme les Sud-Tyroliens l’appellent – Berggasthof Plätzwiese.

Ici, l’accueil de Gerlinde et Philip, les jeunes hôtes de ce refuge à gestion familiale, est très chaleureuse. C’est le réconfort dont nos corps fatigués ont besoin.

En plus d’un dîner abondant et exquis (mention spéciale pour la «  torta alla ricotta della nonna  »), ils nous offrent des conseils aiguisés pour notre randonnée du lendemain. Les jambes en souffrance mais les cœurs réchauffés, nous rampons enfin vers nos lits et plongeons dans un sommeil d’enfant !

Jour 2 : De Prato Piazza au Refuge Fodara - 17 km/780 m D+

Peu importe à quel point on peut planifier dans les moindres détails une randonnée, l'étape d'aujourd'hui nous a rappelé que, en montagne, l’esprit d’adaptation est essentiel.

Notre programme original prévoyait de rejoindre le refuge Fodara en passant par le Lac de Braies (en allemand, Pragser Wildsee ), lieu mythique et incontournable dans les Dolomites.

Heureusement que nos hôtes, en vrai connaisseurs de la région, nous ont aidé à optimiser l’itinéraire en nous expliquant qu'un tel détour aurait ajouté 900 mètres de dénivelé supplémentaires à une journée de marche déjà assez exigeante.

En suivant leurs recommandations, après un petit-déjeuner copieux et de la même qualité que le dîner de la veille, nous prenons l’Alta Via 3 pour rejoindre le Refuge Biella (400 m D+, 4 h de marche).

Le parcours est en effet magnifique. Seuls randonneurs sur le sentier, nous découvrons encore une fois une nature sauvage et colorée : une succession de pâturages avec des vaches capables de grimper jusqu’à 2000 mètres d’altitudes, des marmottes joufflues et paresseuses, ainsi qu'une profusion de campanules, de soldanelles des Alpes et d'Orchis mâles.

Un court passage un peu exposé nous conduit au pied de la Croda Rossa (littéralement «  Aiguille rouge  »), en éboulement permanent. En effet, quelques minutes après l’avoir dépassée, nous entendons de « gargouillements » de pierres en chute. Comme quoi la montagne peut être imprévisible !

Un peu plus tard, lorsque nous traversons la crête de la Forcella Cocodain (2330 m), le vent se lève et des rafales de 60 km/h nous poussent à accélérer le pas. A notre arrivée au refuge Biella (2327 m), le ciel est désormais complètement couvert et des épais nuages chargés de pluie cachent le sommet de la Croda del Becco, que nous avions initialement prévu de gravir pour profiter d'une vue panoramique sur le Lac de Braies. La météo changeante et notre état de fatigue nous persuadent à abandonner cette entreprise.

Petite pause gourmande avec un délicieux strudel (un gâteau typique de la région du Sud Tyrol), et, ensuite, descente « courbaturée » jusqu’au Fodara Vedla Hütte (1966 m). Ici, des reprises techno de chansons tyroliennes nous annoncent que c’est un jour de fête pour les jeunes de la contrées qui, comme le veut la tradition, se donnent rendez-vous tous les ans, le dernier dimanche d’août, dans les refuges du parc naturel de Fanes-Sennes pour célébrer la fin de l’été avec des bals et des chants arrosés.

Après ce moment de folklore, nous poursuivons la découverte des coutumes du Sud-Tyrol à travers la gastronomie.

Au dîner, le menu propose des « canederli » - des gros gnocchis à base d’épinards, pain, speck et fromage – et un ragoût de cerf. Un véritable plaisir pour nos palais de randonneurs gourmets (et gourmands !).

Jour 3 : De Fodara Vedla au Rifugio Val Parola – 21 km / 970 m D+

A 6 heures, des coups de tonnerre nous réveillent pour cette dernière étape de nos 3 jours  de randonnée dans les Dolomites. Les orages que les prévisions météo annonçaient depuis des jours nous ont finalement rattrapé. Au petit déjeuner, nos pensées vont à l’organisation de la journée. Heureusement que nous nous étions préparés à cette éventualité ! Emmitouflés dans nos capes de pluie et nos pantalons imperméables, nous nous apprêtons à affronter les averses.

A contrecœur, nous quittons le chaud et élégant Fodara Hütte pour partir en direction de l’Ücia -refuge, en ladin- Pederü (1548 m).

Arrivés ici, nous voilà encore face à un dilemme : choisir le confort et prendre le bus jusqu’au Pas Valparola, ou défier les aléas de la nature, en terminant notre aventure à pied ? Têtus et orgueilleux, nous optons bien évidemment pour la deuxième alternative.

Inutile de dire que pour cette étape nous n’allons pas nous étaler sur la beauté du paysage : cinq heures de marche quasi ininterrompue sous la pluie battante, pendant lesquelles nous avons traversé d’un pas soutenu le parc naturel de Fanes-Senes-Braies avec ses alpages verdoyants, ruisseaux et petits lacs.

En fin de matinée, tels un mirage, voilà apparaitre la Capanna Alpina, puis le village de Sciaré, d’où nous gagnons, trempés et chancelants, l’arrêt du bus.

L’attente ne dure pas longtemps et, quelques minutes plus tard, nous pouvons enfin nous écrouler dans l’accueillante chambre à laquelle nous conduit Raffaella, la plus jeune représentante de la lignée familiale qui gère le refuge Val Parola (2178 m) depuis des longues décennies. Afin de remplir nos réserves d’énergie épuisées, la nonna nous offre une grappa faite maison qui, toutefois, a sur nous un effet de berceuse. Nous ne découvrirons le charme du paysage qui nous entoure que le lendemain matin, quand le brouillard cédera la place à un petit lac et à une belle vue sur le Monte Lagazuoi

Notre itinérance dans les Dolomites se termine là. Depuis le bus qui nous emmène à Cortina, nous apercevons les cinq doigts de la main rocheuse des Cinque Torri qui nous disent arrivederci .

Vous voulez partir à votre tour 3 jours en randonnée dans les Dolomites ?

Si ce récit vous a inspiré, retrouvez la carte et l’itinéraire de cette boucle de 3 jours de randonnée dans les Dolomites ici :

Vous voulez en faire plus ? Grand Angle vous propose de nombreuses possibilités randonnées itinérantes dans les Dolomites de 6 à 14 jours, de la randonnée en étoile tout confort autour de Cortina en liberté , à la Grande Traversée de 14 jours de Bolzano à Cortina avec guide, ou bien encore la traversée de la mythique Alta Via 1 .

Tous nos treks dans les Dolomites  

Bonus - l’ascension de la Cima Grande

En tant qu’amateurs de grimpe on ne pouvait pas passer par les Dolomites sans y faire une belle journée d’escalade. Alors avant de commencer nos 3 jours de randonnée dans les Dolomites, nous n’avons pas pu résister à partir à la conquête de la Cima Grande au départ du refuge d’Auronzo.

Ce matin-là, la veille de notre randonnée de 3 jours dans les Dolomites, l’alarme sonne à 5 h 30 et le petit déjeuner nous attend déjà sur la table de notre dortoir. Café, croissant et jus d’orange, puis départ rapide en direction de la Cima Grande di Lavaredo, notre objectif d’aujourd’hui. Ce réveil matinal est dû à une météo qui ne présage rien de bon : en effet, des orages sont annoncés à partir de 15 h. De plus, en partant à l’aube, nous espérons éviter la procession des cordées d’alpinistes venus des quatre coins du monde pour gravir ce sommet de renommée internationale.

Malgré nos efforts, après une marche d’approche d’une quarantaine de minutes (200m D+), au moment d’arriver au pied de la voie normale nous sommes, hélas, déjà les troisièmes dans la file d’attente.

Equipés de cordes, casques et divers types de ferrailles, nous attaquons la première longueur qui nous amène dans une goulotte séparant la formation rocheuse dite la « Pyramide » du corps principal de la Cima Grande. Nous avançons rapidement dans cette cheminée, en cherchant de ne pas nous faire rattraper par les autres alpinistes, dont les voix résonnent quelques mètres plus loin. Au bout de la brèche, Marc, persuadé que la voie tournait à gauche, s’aventure dans un territoire inexploré et finit par couronner le sommet de la Pyramide.

Un court moment d’égarement que les guides derrière nous saisissent au vol pour nous dépasser avec leurs clients. Nous décidons de nous mettre dans leurs roues et de profiter à notre tour de leur expertise afin de mieux nous orienter dans cette étendue de cailloux qui, bien que très fréquentée, manque de repères clairs. Ainsi, nous enchaînons une longueur après l’autre, jusqu’à nous retrouver à faire la queue au pied d’une cheminée où s’est formé un bouchon de grimpeurs.

Dépassé cet embouteillage, la circulation reprend normalement et à 11 h nous avons déjà pris l’incontournable photo de nous au sommet (2999 m), avec quelques autres randonneurs en arrière-plan. Même si nous aurions aimé profiter davantage de cette vue à 360 degrés sur les Dolomites, le moment de répit est bien trop court.

A 11 h 20, nous sommes déjà sur le chemin du retour. La descente, qui emprunte le même itinéraire prévu pour l’ascension, se fait principalement en corde tendue, exception faite pour deux rappels de 60 mètres. En début de l’après-midi, une averse mêlée de grêle et de pluie s'abat sur nos têtes, nous laissant craindre que nous n'atteignions jamais la fin du parcours sans être complètement trempés. Ce n’est qu’à 17 heures que nous parvenons enfin à franchir - « secs et saufs » - la porte du refuge Auronzo, où une bonne douche chaude et un dîner bien mérité nous permettent de recharger nos batteries, avant d’entamer notre randonnée de 3 jours dans les Dolomites.

© Crédits texte et photos : Giovanna & Marc

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Écrit le 30/10/2023 par :

Giovanna Crippa

Assistante cheffe de produit Europe

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Vallée de la Semois, Ardennes, Belgique, randonnée de 3 jours

Laissez l'accompagnateur en montagne UIMLA Olivier vous aider à profiter d'une aventure de 3 jours de randonnée dans la vallée de la Semois, dans les magnifiques Ardennes de Belgique.

Intermédiaire

Les points forts

* Passez 3 jours à explorer la vallée de la Semois à l'aide de cartes détaillées.

* Découvrez la beauté de la région des Ardennes en Belgique.

* Visitez un certain nombre de villages historiques importants et charmants dans la région.

Description

Partie intégrante des Ardennes belges, la vallée de la Semois est un endroit merveilleux à apprécier et à explorer. Et au cours de cette aventure de 3 jours de randonnée, j'aimerais vous offrir une excellente occasion de le faire.

Au cours de cette Programme de 3 jours vous pourrez faire une randonnée à travers le Vallée de la Semois entièrement par vous-même. Vous avez ainsi la possibilité de marcher entièrement à votre propre rythme. Où que vous vouliez vous arrêter, vous pouvez vous arrêter, et vous pouvez vous arrêter aussi longtemps que vous le souhaitez. Il n'y a pas d'itinéraire fixe. Au lieu de cela, nous vous fournirons un Dossier Liberty dans la matinée du premier jour, et dans ce fichier, vous aurez les informations de navigation nécessaires pour profiter pleinement de la prochaine journée. 3 jours .

Il existe de nombreuses options différentes parmi lesquelles vous pouvez choisir le type de randonnée que vous souhaitez faire chaque jour. Il existe des options sportives et des options modérées. Et en fonction de votre niveau de compétence, niveau de forme physique et désirs vous pouvez choisir celle qui vous convient le mieux. Mais quelle que soit l'option que vous choisirez, vous pourrez néanmoins profiter de la beauté de la vallée. Parmi les points forts que vous verrez, citons les villages de Mouzaive, Laforet et Membre et bien d'autres encore. Vous pourrez également admirer les Rivière Semois croiser le Chairiere et plus encore. Et à la fin de chaque journée, vous pourrez passer la nuit dans un hôtel confortable.

Une excellente façon d'explorer la vallée de la Semois dans les Ardennes, ce programme de 3 jours est parfait pour les personnes qui aiment explorer par elles-mêmes. Si cela ressemble à une expérience que vous souhaitez vivre, envoyez-moi une demande.

Je propose également un Programme de randonnée de 2 jours avec un bivouac dans la forêt de St. Hubert également.

Le prix comprend

- Hébergement inclus

- Frais de guide

- Petit-déjeuner

Détails des prix

Outre les cartes, informations et topoguides nécessaires, le prix comprend également la nourriture et l'hébergement en demi-pension. En revanche, le prix ne comprend pas le transport, le repas du midi, l'équipement individuel et les dépenses personnelles.

Hébergement

Un hôtel 3 étoiles confortable.

Plus d'informations

Les participants doivent apporter les articles suivants : une casquette, des lunettes de soleil, une cape de pluie, des chaussures de randonnée adaptées, des sous-vêtements respirants, une veste goretex imperméable et respirante, des t-shirts, des gants, un maillot de bain, des chaussettes de marche, un couteau de poche, du papier toilette, des bâtons de marche, un briquet, un appareil photo et des médicaments personnels. Il y a une option pour profiter de la randonnée avec un guide. Si vous êtes intéressé, veuillez nous le faire savoir à l'avance, et nous pourrons vous donner un devis sur le coût.

Lieu de rendez-vous

À propos du guide

E-S Adventure Guides

Guide de montagne

Gauthier et son équipe de guides de montagne, d'accompagnateurs et de moniteurs d'escalade certifiés IFMGA/UIMLA (Anabelle, Andrea, Andrej, Claire, Christophe, Daniel, Elis, Enrico, Etienne, François, Guillaume, Ivan, Jessy, Julia, Mathis, Mitja, Olivier et Robin) font partie des meilleurs professionnels de l'aventure en Europe.

Que vous souhaitiez escalader certaines des meilleures montagnes des Alpes ou vous lancer dans une aventure passionnante d'escalade de bloc à Fontainbleau, entre autres options étonnantes, ils seront en mesure de vous montrer les meilleurs endroits et les cordes pour vous assurer une aventure inoubliable et sûre.

Gauthier sera votre principal point de contact pendant le processus de réservation et pourra vous aider à répondre à toutes les questions que vous vous posez afin de vous assurer que vous recevez le meilleur service de guide possible.

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Best guided session ever! Léo was very experienced and knowledgeable and gave me the exact experience I was looking for!

We really enjoyed our Via Ferrata tour with Willie! He explained everything very well, from how to set up and use the equipment to what to expect during the climb. He explained in detail how the safety features work as well as what to be careful for in terms of falling and the dangers associated with them. And the dangers associated with them. We had a ton of fun, and my daughter who was afraid successfully completed the course as well as the shorter more challenging routes at the end. On top of everything, Willie took some really nice pictures of us! We would 100% hire him again to take us on another Via Ferrata or even just a regular climbing outing.

Leo is a great person overall. He can share wast amounts of knowledge about the forest and the climbs. As an excellent teacher, he will help you enjoy the climbing session to the max!

Our group had a great experience. Most of us were at Font for the first time so this was a great intro. The guide was helpful and even offered to drive us back to Paris rather than us having to take the train. Some coordination info on the website was unclear but I was able to chat with a representative online to get it sorted. Only regret was not signing up for the full day experience!

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Rando bivouac Vosges : Trekking de 3 jours vers le Hohneck et le sentier des Roches

Les Vosges… un terrain de jeu parfait pour les Belges que nous sommes et qui cherchent à s’évader un week-end dans la nature. Un climat montagneux, à proximité de la Belgique, qui nous a ressourcé le temps de notre rando bivouac dans les Vosges.

Nous nous sommes aventurés pour un trekking de 3 jours dans les Vosges. Notre itinéraire est tracé autour du Hohneck. La randonnée passe par 5 lacs dont certains font partie des plus beaux lacs des Vosges. En prime, l’itinéraire se rend sur la trace la plus populaire des Vosges : le sentier des Roches. Ce trek en boucle dans les Vosges est définitivement l’une des meilleures traces pour découvrir les plus beaux paysages du territoire des Hautes Vosges !

Bivouac Vosges : ce qu’il faut savoir

Le bivouac est-il autorisé .

Le bivouac dans les Vosges est toléré. On dit bien bivouac, et pas camping. C’est-à-dire que le bivouac est toléré pour autant qu’il s’agisse d’un campement provisoire d’une seule nuit. On s’est bien entendu conformé aux points d’exigences d’un bivouac, et notamment en veillant à ne laisser aucune trace derrière nous ! C’est la moindre des choses. Note que le bivouac reste naturellement interdit dans certaines zones, comme les parcs naturels et sites protégés. Au cours de notre route, le seul endroit qui était concerné se situe aux alentours du sentiers des roches. Il s’agit de la réserve naturelle du Frankenthal-Missheimle. Il est de toute façon très compliqué d’envisager y planter une tente au vu du terrain relativement escarpé.

Si le bivouac est toléré, allumer un feu ne l’est pas du tout. On a donc emporté notre réchaud de randonnée pour nos repas lyophilisés, dégustés goulument en soirée.

Comment flairer le bon spot bivouac dans les Vosges ?

Pour nous, dormir à proximité d’un point d’eau, conditionne clairement l’emplacement du bivouac. Pour se mettre à l’aise et pouvoir cuisiner sans crainte de tomber à court d’eau, le plus simple est de passer la nuit en bivouac à côté d’un lac ! Au matin, c’est parfait pour l’associer à un petit saut dans le lac pour un bain de fraicheur. Généralement les pourtours d’un lac sont les endroits parfaits pour poser la tente. Ce qui fait de cette rando-bivouac des Vosges l’une des meilleures traces de rando-bivouac sachant qu’on passe à côté de 5 lacs. C’est 5 bonnes occasions de poser la tente !

L’autre type de spot bien convoité aussi, ce sont les crêtes ! Les amateurs des vues grandioses au lever du jour seront ravis de partager leur expérience en la matière. On trouve plusieurs désavantages à cette option. Déjà, l’exposition au vent. En cas de mauvais temps, il faut pouvoir supporter des conditions généralement plus difficiles qu’à l’abri, dans les terres. C’est aussi plus compliqué de profiter d’une soirée sereine sans craindre de voir les cartes que vous jouiez s’envoler à chaque pioche. On apprécie pourtant l’idée de profiter d’un réveil sur les crêtes Vosgiennes. L’itinéraire proposé ne manque pas d’opportunité en la matière. Ce qu’on apprécie avec le massif des Vosges, ce sont ces sommets en forme de ballons qui finalement caractérisent si bien les sommets vosgiens. Il est alors généralement plutôt aisé de poser une tente.

La gestion de l’eau dans cette rando bivouac Vosges

Si vous optez comme nous pour un bivouac à côté d’un lac, alors il est tentant de s’approvisionner en eau à même le lac. C’est tout à fait possible mais attention d’emporter une gourde filtrante type Katadyn pour t’assurer d’éliminer les bactéries présentes dans l’eau avant de la consommer. En plus de la filtrer, il est aussi préférable de bouillir l’eau du lac. Ce qu’on a forcément fait pour la cuisine. Je vous assure que personne n’est revenu malade de cette expédition alors même que nous avons bu l’eau du lac, seulement filtrée. La sécheresse s’est abattue sur les Vosges cet été, ce qui fait que les lacs sont sujets à une développement bactérien plus important qu’à l’habitude. En outre, on peut retrouver des cyanobactéries. Si c’est le cas, ce sera toujours indiqué ! Il n’est alors pas conseillé d’aller nager dans l’eau, et encore moins de la boire.

Autrement, sur la trace proposée, nous avons croisé quelques auberges / refuges dans lesquels il est possible de s’approvisionner en eau. Vu les quantités d’eau consommées pour cuisiner, on s’est vite rendu compte qu’on ne pouvait pas vraiment se passer des lacs. L’idée de porter 25 kg sur le dos ne nous a pas vraiment traversé l’esprit. 😀

Itinéraire d’un trekking de 3 jours dans les Vosges

Le tour des 5 lacs est un itinéraire de 40 km et 1800 m D+. Il s’agit d’un tracé qui s’effectue en boucle. Il est possible de le réaliser dans un sens ou l’autre, c’est pareil et c’est surtout fonction de votre heure de départ. En démarrant l’après-midi, il est sans doute plus simple de l’effectuer dans le sens anti-horloger pour limiter la distance du premier jour. Du moins si vous voulez exécuter les mêmes étapes que nous.

En guise de soutien à notre travail, notre trace complète est disponible à la vente ci-dessous. Le dossier comprend une trace GPX de l’itinéraire globale des 3 jours, ainsi qu’une trace GPX par journée avec un guide d’installation du fichier gpx sur ta montre connectée ou ton smartphone. (Attention, une fois le paiement effectué, reste bien sur la page et ne ferme pas l’onglet, celle-ci va directement se charger avec le récapitulatif de commande et le lien de téléchargement qui sera surligné en violet).

Jour 1 (ou jour 3) : du col de la Schlucht au lac d’Altenweiher (18 km – 600m D+)

Le col de la Schlucht est le point de départ de notre trekking de 3 jours dans les Vosges. C’est l’un des principaux cols du massif des Vosges. Il y a un grand parking où laisser sa voiture pour le week-end gratuitement. Ce col est populaire et convoité des touristes, d’autant plus qu’il est le point de départ du sentier des roches. Nous avons déjeuné à la brasserie de la Schlucht avant de prendre part à la randonnée. Le must pour une immersion culinaire vosgiennes juste avant de partir découvrir les paysages que la région a à offrir.  

La première curiosité de la journée est l’approche du Hohneck. Nous ne monterons pas au sommet car ce n’est autre qu’un grand parking. Nous avons préféré monter d’autres sommets plus attrayants durant ce trek. Le sentier pour y parvenir est par ailleurs super impressionnant. On a adoré cette première partie de randonnée. La vue au Martinswand est incroyable ! De là, on observe le Honeck et la vue panoramique nous laisse bouche bée. On rejoint ensuite le col du Falimont. Le sentier qui relie le Martinswand au col du Falimont est certainement parmi les plus beaux que nous ayons parcouru durant ce trek de 3 jours. C’est bien sur ce type de paysage que j’imaginais trouver en pensant aux randonnées mythiques des Vosges.

Lors de notre itinéraire de rando bivouac dans les Vosges, on a croisé la route du lac de la Lande et de Blanchemer. Celui de Blanchemer est un merveilleux spot baignade dans les Vosges. C’est certainement l’un des plus adaptés pour se baigner. Il est aussi plus squatté que les autres. Nous aurions pu nous arrêter ici pour passer la première nuit, mais nous avons préféré poursuivre jusqu’au lac suivant : le lac d’Altenweiher. Assez prisée du bivouac, il est préférable d’arriver tôt pour saisir le plus beau spot bivouac des lieux. A vrai dire, nous sommes arrivés tard, sur le coup de 21h00. Nous avons pourtant trouvé un spot grandiose.

Le sommet du Kastelberg est facultatif sur la trace. Nous avons fait l’aller-retour pour admirer la vue depuis ce sommet Vosgiens. C’est clairement un détour qui vaut la peine. Nous avons ensuite parcouru une grande descente (400m D-) pour rejoindre les abords du lac d’Altenweiher pour notre première nuitée en bivouac.

Jour 2 : du lac d’Altenweiher au lac du Schiessrothried (12 km – 485m D+)

La première partie de randonnée est une longue descente qui permet d’atteindre le centre de Mittlach. L’altitude est à 500m. Depuis le sommet du Kastelberg, c’est plus de 800m de dénivelé négatif que nous avons dû dévaler d’une traite. La remontée jusqu’aux crêtes vosgiennes s’effectuera en majeure partie durant cette deuxième journée. Pour cette ascension, c’est le mythique sentier de la Wormsa que nous avons emprunté.

Nous sommes arrivés sur le coup de midi à Mittlach. C’est l’heure idéale pour déjeuner. L’hôtel restaurant Valneige tombe à pic sur notre itinéraire. Nous avons repris des forces avec un excellent repas avant d’entamer la longue ascension du jour.

Le sentier de la Wormsa est avant tout connu pour ses cascades. En comparaison à la précédente journée de randonnée, la vallée de la Wormsa nous change terriblement en matière de paysages rencontrés. Moins exposé, le sentier passe à travers des zones boisées. Il sillonne la rivière pour y découvrir les cascades de la Wormsa. La fin du sentier abouti au lac de Fischboedle. C’est le plus petit lac Vosgiens ! Il est très mignon. C’est certainement l’un des plus beaux lacs rencontrés sur cet itinéraire de randonnée dans les Vosges.

On clôture cette journée de randonné en remontant encore un peu plus haut. On rejoint alors le lac de Schiessrothried. Il est possible de faire un bivouac autour du lac sur les terres, ou même sur la plage. C’est dur de croire qu’on est dans les Vosges dans de pareilles conditions.

Jour 3 (ou jour 1) : du lac du Schiessrothried au col de la Schlucht (10 km – 735m D+)

Cette étape est indéniablement la plus technique de ce trek itinérant de 3 jours dans les Vosges. C’est notamment expliqué du fait que l’on parcoure le mythique sentier des Roches.

Nous entamons la journée par l’ascension du petit Hohneck. C’est le plus beau sommet de notre randonnée. C’est nature peinture là-haut ! Après cette première curiosité du jour, on rejoint la réserve naturelle de Frankenthal-Missheimle en passant par la grotte Dagobert. C’est dans cette réserve que se trouve le fameux sentier des Roches. Nous l’empruntons pour finir en beauté cette magnifique rando bivouac Vosges.

Il faut souligner que le sentier des roches peut en freiner plus d’un, et c’est tout à fait compréhensible sachant qu’il est le sentier où se produit le plus d’accidents dans les Vosges. Pourtant bien sécurisé, il paraitra aisé pour les randonneurs les plus aguerris, les plus agiles ou les plus téméraires, mais aussi les plus à l’aise avec le vide. C’est un sentier aérien. Sophie craignait cette partie. Pourtant sujette à des vertiges quand le sentier devient fort exposé, c’est finalement passé crème ! La main courante toujours à dispo quand le passage devient compliqué, l’a rassurée. Dès lors que l’agilité fait partie des critères forgeant le succès de cette traversée, les enfants peuvent y trouver un terrain d’aventure qui leur plairont certainement. Note que les chiens sont interdits sur ce sentier.

Pour ceux dont le sentier des roches fait peur, et sont réticents à l’idée de le parcourir, une alternative est possible. A partir du petit Hohneck, il est possible de remonter vers le Hohneck ou encore le col du Falimont découvert 2 jours plus tôt. C’est d’ailleurs bien fléché. De là, vous pouvez revenir au col de la Schlucht pour clôturer à votre façon cette rando bivouac dans les Vosges de 3 jours.

Shop cet itinéraire de rando !

baroudeursliegeois

Deux amoureux, passionnés de blogging, de nature et d'activités insolites et outdoor. Tout comme nous, vis des aventures extraordinaires près de chez toi !

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Balade insolite au Tunnel de Dalhem entre Visé et Blegny, à proximité de Liège

Bonjour Je suis habitué des randos et j’ai d’ailleurs déjà fait le Sentier des Roches… Mais je n’ai encore jamais fait de bivouac. Pensez vous que cet itinéraire conviendrai Mi/Fin Mai pour un premier parcours avec bivouac? Si oui, existe t il une trace GPX de ce que vous avez suivi quelque part?

Merci pour votre retour très alléchant en tous cas! 🙂

Bonjour! Le sentier des roches est définitivement un must 😀 Oui tout à fait possible au mois de Mai. Tu devrais d’ailleurs échapper au risque de sécheresse à cette période, donc ce n’est que mieux ! La trace GPX est téléchargeable dans l’article pour chaque étape : lien cliquable sous les maps. Bonne rando-bivouac ! 😉

Bonjour, Nous sommes très interréssés par ce treck mais nous avons un chien, et il semblerait qu’elle ne puisse pas nous suivre sur la dernière étape. Existe-t’il un autre moyen de se rentre du lac schiessrothried au point de depart ( col de la slucht) sans passer par le sentier des roches ( et sans faire demi-tour) Merci d’avance Audrey

Bonjour. Oui en effet, trop dommage pour eux 🙁 Une alternative est de remonter sur le Honeck par le sentier des couloirs. Et revenir au point de départ à partir de la trace empruntée le premier jour, mais en sens inverse (en repassant par le Martinswand). On ne l’a jamais fait, mais ca doit être pas mal par ce chemin là. Sinon, l’autre idée ce serait de descendre “sous” le sentier des roches, et y aller par le sentier des mulets…

Bonsoir! Nous souhaitons faire cette première rando-bivouac en fin mai. Pouriez-vous me dire quelle carte je dois acheter. J’ai déjà téléchargé les tracés GPX mais comme c’est une grande première pour nous, nous aimerions les indications papiers également. Merci de nous faire rêver et de rendre ces expériences possibles 😍 Sha&Chris

Bonsoir. Nous ne nous sommes pas munis de carte papier pour cette expé. Je ne saurais pas dire lesquelles prendre. Normalement aucun soucis pour le faire muni d’une app gps seulement. Bonne rando, enjoy_ 😉

Bonjour, un grand merci pour ce contenu, grâce à vous j’ai trouvé ma prochaine rando. Avez vous le tracé GPS en un fichier ?

Bonjour! Avec plaisir. Je te souhaite une bonne randonnée et profite en bien. Tu veux dire en un seul fichier plutôt que 3 séparés? Si oui, malheureusement non. Par contre les traces GPS sont téléchargeables une à une pour les 3 jours. Il y a un bouton télécharger sous les traces dans l’article, qui te permet de télécharger automatiquement ton fichier .gpx. Il doit surement exister des app pour compiler plusieurs traces en une seule? à investiguer.

J’utilise l’application Iphigénie dans laquelle on peut voir les 3 GPX simultanément. Le seul bémol de l’application, c’est que ce n’est pas super intuitif. Il faut prendre du temps pour comprendre les fonctionnalités de l’appli mais elle est gratuite et disponible sur Android et apple store.

Bonjour, Nous souhaiterions réaliser cette randonnée en planifiant 2 nuits en ferme auberge. Auriez-vous quelque chose à me conseiller sur le chemin ou dans les environs ? Merci d’avance.

Bonjour. Oui le premier jour de la randonnée, nous sommes passé par le refuge du Rainkopf (on y a pris un verre avant de resdescendre dormir autour du lac Altenweiher). Mais apparemment il est définitivement fermé maintenant 🙁 Sinon on n’est pas passé loin de la ferme auberge Kastelberg. Il y a peut être des possibilités là bas. Pour la deuxième journée, on a dormi autour du lac de Schiessrothried. Il y a le refuge du Schiessrothried qui borde aussi le lac. On y est allé se ravitailler en eau.. mais ca ne respirait pas la joie ! Ca n’avait pas l’air enjoyant d’y séjourner. Voilà je pense tu as déjà quelques pistes à explorer

Je voulais savoir si sur le trajet il y à un endroit où on capte le réseau pour pouvoir donner des nouvelles à ma femme. ( je pars seul )

Bonne soirée 😉

Bonsoir. Oui il y a beaucoup d’endroits où tu capteras. Je ne pense pas une seule fois en avoir manqué pour tout te dire 🙂 Bonne rando !

• Ping : Promenade sur le tour du lac de Longemer

Hello, Nous faisons ce trek première semaine de juillet (merci à votre descriptif) Auriez vous les références des cartes IGN associées aux coins traversées ? Merci !

Salut Kévin. Pas d’idées malheureusement pour les références des cartes IGN. Nous avons tracé le parcours avec une appli smartphone (Suunto). Puis nous avons suivi la trace avec cette même appli et aussi avec nos montres. Bonne randonnée et profite en bien.

Je vous propose ça pour la carte IGN :

https://boutique.ign.fr/cartes-de-randonnees-3719otr-colmar-le-hohneck-resistante-9782758550532-2.html

Merci pour vos retours !

Bonjour, Merci pour votre partage et vos traces GPS ! J’ai fait le même parcours pour mon tout premier trek, la semaine dernière. J’ai doublé les étapes 2 et 3, mais à part cela j’ai suivi votre parcours… Un départ sous la neige, une nuit glaciale, mais une très bonne expérience ! Encore merci 😉

Hello. Super, c’est vrai qu’en les cumulant de la sorte ca équilibre les jours 1 et 2 en kilomètres 😀 C’est super de voir que ce trek et bivouac dans les Vosges t’a plu !

Bonjour, Merci pour le topo, ça a l’air top ! Sauriez-vous (approximativement) le temps qu’il vous a fallu chaque jour pour parcourir l’étape ? Merci d’avance,

Bonjour. Oui c’est notre plus belle rando dans les Vosges ! 🙂 Il nous a fallu 5h30 le premier jour, puis 3h30 et 4h00 d’activité. Sans compter les arrêts/pauses et le temps de profiter à nos spots bivouac.

Merci beaucoup pour les informations et cela m’aide beaucoup pozr l’organization. Ce sera bien si vous pouvez donner plus de bivouac spots points dans les autre blogs.

Nous avons décidé avec ma compagne de parcourir ce treck en bivouac le 1er w end de Juin! Pourriez vous me dire.s’il y a du flechage mis en place pr ces 3 tracés?

Histoire de ne pas dépendre que la technologies!

Bien à vous Cédric

Bonjour. Pas à ma connaissance, non. Vous pouvez emporter vos cartes papiers IGN sinon 🙂

Sauriez vous me dire si sur le trajet il y a des points de ravitaillement pour l’eau ? Merci beaucoup

Il y a plusieurs points ravitaillement possible. Le premier jour, tu peux compter sur la ferme auberge de la Chaume de Firstmiss et le second dans le centre de Mittlach. Sinon l’eau des lacs, mais il faut filtrer, et idéalement chauffer.. 🙂

Bonjour, Il y a t-il des sources ou points d’eau disponibles sur le parcours pour se ravitailler ? Merci d’avance,

Bien à vous,

Hello. On s’est ravitaillé dans les lacs et nous étions équipé d’un filtre à eau. Sinon on passe par qq refuges / village où on a pu se ravitailler en eau vers la mi-parcours.

Bonjour, merci pour ce partage! Je souhaiterais suivre votre parcours tout en ajoutant 10km, auriez-vous des idées de comment allonger le trajet ? Merci d’avance!

Bonjour. Je n’ai pas d’itinéraire dispo incluant 10km additionnel, mais il est possible d’étendre en s’ajoutant le sommet du Rainkopf. C’est proche du lac d’Altenweiher. Ou alors du petit Honeck, plutôt que de faire l’aller retour jusqu’au sommet, repartir vers la station du Gaschney. De là, reprendre un itinéraire vers le sentier des roches. Ce sera d’office plus long. Bonne rando

Merci pour ce parcours qui à l’air magnifique. Auriez vous la trace GPX totale ?

Bonjour. Oui je viens de l’ajouter. Il est possible de merger les GPX entre eux via GPX merge ( https://joewein.net/bike/gpxmerge/ ) Sportivement

Bonjour, Merci pour ce bel itinéraire bien expliqué. Le conseilleriez-vous pour une toute première randonnée/bivouac (femme seule)? Je n’ai pas beaucoup d’expérience et souhaite commencer calmement mais surement! Si vous avez le moindre conseil je suis preneuse 🙂 Merci pour vos retours.

Bonjour. Oui tout à fait je recommande pleinement. On n’est pas sur un itinéraire compliqué en matière de technicité. Je vous le conseille vivement. C’est parfait pour s’initier à la rando-bivouac. 🙂

Bonjour Je souhaiterais cette rando mais ma compagne préfère loger en auberge / gîte que sous tente. Y a t’il des logements le long du tracé ? Merci

Pour la deuxième nuitée, oui. Il y a un refuge autour du lac Schiessrothried. Autrement pas sur la première étape. Il faut dérivé de la trace pour trouver un logement. Ou alors l’alternative, c’est de faire l’itinéraire en 2 jours et dormir à Mittlach (à mi chemin). C’est un petit village et il y a de l’offre en hébergement. Ca ferait un trek d’environ 20km par jour. C’est réaliste.

Bonjour, Je termine les 3 jours de trek en solitaire et souhaite y apporter de petites précisions (sans animosité aucune). Pour commencer, ami liégeois, merci pour les informations, le tracé GPS etc). J’ai réalisé la parcours à l’envers démarrant l’après-midi (donc Roches – Schiessrothried – (Altenweiher) – Blanchemer – Hohneck – Schlucht). Je conseillerais de poursuivre la marche jusqu’au lac de Fishboedle pour le bivouac. En effet, Schiessrothried est un barrage (ça permet de son charme), avec présence de cyanobacteries, dans lequel on ne peut ni se baigner ni se ravitailler en eau (il y a, toutefois, un ruisseau tout proche). Dans mon cas, tous les refuges sur le tracé était fermé donc impossible d’y trouver sec, chaleur ou eau … à Fischboedle, un petit kiosque permet de s’arrêter et cuisiner au sec. Ce n’est que 30 minutes de plus (en descente dans ce sens) et cela équilibre un peu plus les tracés du lendemain. Ensuite, contrairement à ce qui est dit plus haut, une fois que vous dépassés Mittlacht, vous perdez tout réseau téléphonique, y compris au lac d’Altenweiher où on est censé dormir. Partant femme, seule, cela ne me semblait pas une solution envisageable; d’autant que, de nouveau, le second lieu de bivouac renseigné est un lac de barrage, sans réseau, sans refuge, avec cyanbacteries et donc eau impropre. Il est certes peu fréquenté, donc cela dépend de ce que vous chercher. Heureusement que j’ai croisé sur ma première nuits deux autres Liegeois qui m’ont avertis de la situation, je n’aurais pas été à l’aise de me retrouver là dans ces circonstances sinon. J’ai donc pris mon courage à deux mains pour entamer l’ascension jusqu’au refuge du Rainkopf, fermé (mais on y retrouve du réseau) et puis finalement redescendre jusque Blanchemer, lac naturel, baignade autorisée, réseau téléphonique et cabane en libre accès pour dormir, faire un feu intérieur etc. Aucun regret! Il est vrai, toutefois, que ce lac est facile d’accès à tout qui veut et semble être un point promenade facile de la région; jusque 17-18h donc, vous êtes loin d’être au calme, il y a beaucoup de passage et potentiellement des personnes ne respectant pas la simplicité de l’endroit. Je pense qu’en y passant en semaine, on évite un peu plus cela (4 jeunes sont venus jouer aux cartes dans la cabane mais nous ont vite laissé place en nous souhaitant bonne soirée et bonne marche). A contrario du lac précédent, beaucoup de personnes s’y arrêtent, l’occasion de discuter des parcours respectifs sur la route (et la vie :)), échanger les vivres manquants etc. Cela allonge la journée 2 à 18km (-1,5 ou 2 si vous avez logé à Fischboedle). Enfin, sur le dernier jour, de Blanchemer jusqu’au Hohneck, je conseille de passer par les chemins balisés d’un cercle bleu vide au centre, ainsi passer par les pistes de skis et autre, que par le chemin ici indiqué qui emprunte une route fort utilisée par des véhicules moteurs. Les indications manquent parfois un peu mais en suivant les pistes de ski et un peu la route, le chemin est évident puisqu’on voit le Hohneck. Il est ici déconseillé de faire le crochet par le Hohneck : je vous dirais tout l’inverse ! Le panorama est très beau, sous plein d’angles divers, et de nouveau, évite de marcher sur de la route asphaltée. Une tarte à la myrtille au sommet, et c’est reparti ! Voilà mes modifications, j’espère qu’elles en éclaireront certains 🙂

Hello ! Merci pour tes conseils, et ton partage d’expérience. C’est toujours un plaisir d’avoir à lire d’autre retour d’expérience sur une trace similaire. Par contre, nous n’allons pas modifier notre article compte tenu de ce retour car nous avons à coeur de partager un contenu authentique, au plus proche de ce que nous avons vécu / ressenti. Il n’a donc pas vraiment pour objectif de conseiller quiconque voudrait s’aventurer à son tour sur cet itinéraire 🙂

Fischboedle est très chouette aussi pour bivouaquer ! On a longuement hésité à s’y poser, mais on a préféré s’avancer pour le lendemain. Le fait que le lac soit plus grand nous garantissait justement pouvoir y trouver un endroit plus paisible, loin du passage des randonneurs. La cynobactérie était aussi présente à Fischboedle, ce petit lac n’y échappait pas 🙁

Pour ce qui est du lac d’Altenweiher, nous nous y sommes baignés malgré la cynobactérie. On a même filtré son eau, et on l’a chauffé, puis bue. Personne n’est tombé malade. Le tout est ne pas nager la bouche grande ouverte dans ces conditions 😀 Mais je comprends bien entendu tes inquiétudes, et l’absence de réseau qui ne rassure pas tout le monde.

Au final, on adore le fait que tu ai pu adapter le parcours à ta sauce ! C’est ce qu’on recommanderait à tout le monde, et il n’y a rien de tel pour prendre un max de plaisir et continuer de faire face à une part d’inconnue ! Au plaisir 😉

• Ping : Promenade au lac des Corbeaux menant à la Roche du Lac

Bonjour, D’abord merci beaucoup pour ce joli blog! Je prévois de faire votre tour du 30 mars au 2 avril accompagné par une inexpérimentée en trek et j’ai quelques questions: – La météo: Y a t-il (beaucoup ou pas) de neige possible à cette époque de l’année. Si oui, cela peut-il rendre plus difficile/dangereux votre tour? – La nourriture : L’avez-vous fait en full-autonomie? Ou bien il y a des endroits pour se ravitailler (si oui, pouvez-vous me transmettre les adresses svp) – Recommendez-vous la gourde filtrante Katadyn?

(Mon expérience : Tour du glacier de la Vanoise en bivouac et ravitaillé à chaque refuge en eau et nourriture. J’aimerais m’orienter vers du semi/full autonomie. Prochain objectif d’été, le tour des combins)

Bonjour. Très belle idée, je trouve que c’est une rando qui se prête assez bien en première approche, et devrait vous combler. Pour ce qui est de la météo, difficile de dire le temps qu’il fera à cette période mais oui, s’il neige, le sentier des roches sera interdit d’accès. C’est très/trop compliqué à franchir avec de mauvaises conditions météos (neige en l’occurrence). Pour la nourriture, on peut s’élancer en full autonomie mais sans obligation. Notre itinéraire passe par des refuges. On s’est notamment arrêté au refuge du Rainkopf pour manger du fromage 😀 On s’est aussi arrêté le lendemain midi, à Mittlach. Il y a un restauranrt dans le “centre ville” qui offe de bons petits plats et qui nous a bien requinqué ! Pour ce qui est de l’eau, je recommande une gourde Katadyn oui! Si vous optez pour du bivouac, c’est presqu’indispensable sinon il vous faudra emporter trop d’eau avec vous. Ca devient lourd à porter, et moins amusant. Il n’y a pas beaucoup de ravitaillement possible en eau sur le parcours, donc mieux de compter sur cette forme d’indépendance.

Bonne rando !

Merci pour votre blog contenant une grande mine d’informations donnant envie de partager cet émerveillement que vous décrivez !

Nous pensons réaliser votre parcours en le modifiant à la fin vers le sentier des couloirs car nous aurons notre Border (le sentier des roches n’est donc pas envisageable). Avec ce changement, la fin du parcours est-elle plus facile/difficile ?

Toutefois, nous sommes des novices de la randonnée et moyennement sportif. Nous débutons. Pensez-vous qu’il soit trop ambitieux d’envisager cet itinéraire en premier lieu ?

Merci d’avance pour le partage de votre expérience/avis !

Bonjour. Nous sommes contents de lire que notre blog t’inspire! 🙂 L’alternative que tu suggères me semble tout à fait jouable accompagné de votre border, et je dirais que ca ne rends pas beaucoup plus compliqué la rando! C’est juste que ca grimpe mais c’est moins technique que de s’aventurer le sentier des roches, et au final la prise de dénivelé est quasi similaire (juste moins lissé). Je pense que ce parcours est super comme initiation à la rando sur plusieurs jours, donc n’ayez craintes. Ca donne un bel aperçu de ce que pourrait être une expérience de grandes randonnées sur des itinéraires > 100km.

Bonne rando!

bonjour tout d’abord merci bcp pour ce blog, j’aurais aimé savoir vers quelle période vous avez fait se trek, je compte le faire fin juin 😁

Bonjour, oui fin juin est parfait. On a fait ce trek pendant les mois d’été aussi

Bonjour, je souhaite faire cette rando mais malheureusement Visorando ne sait p1s afficher vos traces car elle contiennent (selon l’app) plus de 10 000 points. Avez vous un autre tracé ou quelle app avez vous utilisé ?? Merci d’avance 😊

Bonjour. Mmh c’est possible, mais malheureusement pas d’autres traces à te proposer. On utilise Suunto pour notre part, qui n’est pas une vrai app de guidage, mais qui fait parfaitement le taf (et c’est gratuit).

Je viens de tomber sur ce blog et votre page, tout ce que j’aime. Par le biais d’un ami. Ils l’ont fait et mon donc envoyé ce lien. J’essaie de télécharger les liens pour le tracer GPX. Je les ai dans mon téléphone mais quand j’ouvre, page noire. Est-ce normal ?

Merci de votre réponse au plus vite. Bon trek 🌞

Bonjour Théo. Normalement lorsque le fichier est téléchargé, tu dois l’ouvrir depuis son emplacement en choisissant ton app de lecture gpx. Si tu cliques dessus sans sélectionner l’app, c’est possible que l’écran s’affiche en noir. Autrement, dans le dossier de téléchargement qu’on propose, on renseigne une note explicative pour te permettre d’utiliser au mieux le fichier gpx. Bon trek 😉

Bonjour, Nous venons de faire votre très beau tour (en sens inverse) avec une veine de pendu pour la météo ! Un tout grand merci pour le partage, qui nous a permis de partager des moments de qualité sur une trace d’exception. Je dirai tout de même que le sentier des roches est magnifique mais fatiguant, et qu’en tant que débutant, je suis content de l’avoir fait le premier jour avec des jambes fraîches et en descente. Encore grand merci

Bonjour, premier bivouac pour moi, je suis un peu stressé même si j’ai hâte! Il y’a t’il la possibilité de manger en refuge? Faut-il réservé à l’avance?

Bonjour. Je trouve que les Vosges sont parfaites pour faire un premier bivouac en rando ! 🙂 Oui il y a possibilités de manger dans les refuges qu’on croise. Voici ce qu’on conseille : Jour 1 : Auberge de la chaume du Firstmiss Jour 2 : Ferme auberge Kastelberg ou bien dans le centre de Mittlach Jour 3 : La Marcairie du Frankenthal Après c’est surtout pour le midi, et le soir, on prenait des repas lyophilisés.

Bonjour ! Merci pour ce chouette blog ! Est-ce encore possible de faire ce tracé le dernier week-end de septembre ? Merci !

Hello, oui l’automne est la saison idéale pour faire ce petit trek ! Tout comme au printemps, il fait moins chaud en automne qu’en été. Il faut juste surveiller la neige en hiver, notamment pour le sentier des roches qui n’est pas recommandé dans des conditions enneigées. Mais elle se fait de plus en plus rare dans les Vosges. Au mois de Septembre, ce serait du jamais vu. 🙂

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La Boucle des Dômes – 3 jours de trek en Auvergne

• Auteur/autrice de la publication : Les Géonautrices
• Publication publiée : 6 novembre 2017
• Dernière modification de la publication : 6 mars 2024

La Boucle des Dômes est un trek en Auvergne de 49 km, faisable en 2 ou 3 jours. Cette randonnée nous emmène à la découverte des volcans de la Chaînes des Puys , dans le département du Puy-de-Dôme.

Pour cette randonnée itinérante , que nous avons réalisé au cours de la dernière semaine du mois d’octobre 2017, nous sommes parties super motivées puisque la météo annonçait un temps superbe pour nos trois jours de marche, et ce jusqu’à la veille de notre départ. Malheureusement, le jour du départ ainsi que le jour suivant, le temps était au brouillard et à l’humidité. Mais ces 2 jours de grisaille sur les 3 jours de marche ne nous ont pas empêché de profiter de La Boucle des Dômes.

Infos pratiques pour La Boucle des Dômes

Jour 1 sur la boucle des dômes : du parking de la gare du panoramique des dômes à nébouzat, jour 2 sur la boucle des dômes : de nébouzat à mazayes, jour 3 sur la boucle des dômes : de mazayes au parking de la gare du panoramique des dômes, la boucle des dômes en bref.

• Type : boucle
• Niveau : classé facile (moyen suivant le niveau de chacun)
• Durée estimée : 2 à 3 jours – environ 14 heures
• Distance : 49 km de marche
• Dénivelé positif : 1124 m
• Dénivelé négatif : 1278 m
• Balisage : 2 traits blanc et vert ou petite pancarte verte avec l’inscription WE

Le départ de la randonnée de la Boucle des Dômes , en Auvergne, s’est fait depuis le parking du train à crémaillère qui monte jusqu’en haut du Puy-de-Dôme. Le plus « difficile » à ce moment là a été de trouver le point P du départ qui est en haut du parking, à côté de l’aire de camping-car. Effectivement, ça nous a paru assez long à trouver puisque nous avons eu la bonne idée de garer la voiture tout en bas du parking ? .

Une fois que nous avons trouvé le premier balisage, nous avons suivi le chemin qui nous a emmené dans les bois. L’ambiance était très mystique dû au brouillard, aux grands arbres et au calme qui régnait autour de nous. Ce premier tronçon nous a mené jusqu’au Col de Ceyssat , lieu de départ du sentier des muletiers qui monte directement en haut du Puy-de-Dôme. Nous avons pour notre part tourné à gauche, direction sud-est en suivant nos balises et nous sommes restées dans la forêt jusqu’au village de Laschamps .

À Laschamps, la pluie nous a rattrapé quelques minutes et nous avons donc passé ces quelques instants sous un abris à regarder deux chats boire dans la fontaines qui se trouvait à côté. Fascinées (lol), mais commençant à nous refroidir, nous avons pensé plus malin de reprendre notre marche, même sous la légère pluie qui tombait. Ce fut une fois hors du village et à nouveau dans les sous-bois, que nous avons trouvé trois gros pins qui nous ont abrités le temps de pique-niquer. À cause du froid, le pique-nique fut bref, mais suffisant, surtout en terminant avec une Energy Ball , boule énergétique, à l’abricot et à l’acérola, de quoi nous re-motiver pour la deuxième partie de la journée.

Nous avons quitté nos trois arbres pour reprendre notre marche et nous sommes sorties de la forêt quelques centaines de mètres plus loin pour se retrouver sur un grand plateau. Sur ce plateau, nous aurions dû voir des volcans autour de nous , mais à cause du manque de visibilité, ça n’a pas été le cas. Par contre, nous avons croisé de nombreux troupeaux de bovins ainsi qu’un troupeau d’ovins particulièrement curieux… Puis nous avons rejoint le hameau de Recoleine , où nous avons pu voir cette fois un animal bien de chez nous : le lama ! Ah non, c’est pas ça ?! … ?

À la sortie du hameau, attention à bien regarder le balisage, notre itinéraire passe sous un pont au dessous de la D2089 direction Nébouzat . Nous avons suivis le chemin qui nous a fait reprendre de la hauteur pour se retrouver sur un autre plateau où, encore une fois, nous aurions dû voir des volcans au loin, dont le Puy de Pourcharet et le Puy de Montgy .

La dernière partie de la randonnée balisée s’est faite entre chemins ouverts bordés de prés et sous-bois, pour ensuite rejoindre par la route notre logement depuis le hameau de Pont-les-Eaux : l’ Hôtel-Restaurant Volcan Sancy .

Bilan rando : 19 km pour 5h30 de marche environ.

Hôtel-Restaurant Volcan Sancy

Impasse des quatre routes 63210 Nébouzat 04.73.87.13.11. ► Renseignements et réservation Volcan Sancy

Nous avons été agréablement bien accueillies par la propriétaire de Volcan Sancy. La chambre que nous avons eu était superbe et très agréable. Nous avons mangé comme des reines au restaurant, mais aussi au petit-déjeuner le lendemain matin avant de reprendre notre marche. Nous vous conseillons vivement cet établissement, que ce soit pour une étape au cours d’une randonnée comme nous, mais aussi pour un séjour plus long. Allez-y les yeux fermés ! Personnellement, si nous devions revenir dans cette partie de l’Auvergne, nous n’hésiterions pas à aller à Volcan Sancy. 🙂

Ce deuxième jour de marche était encore à la pluie, mais globalement et grâce à la marche, nous n’avons pas eu froid.

Depuis notre hôtel, nous avons rejoint le hameau de Pont-les-Eaux , là où nous avions quitté notre itinéraire la veille. Nous avons retrouvé notre balisage vert et blanc au bord de la D216, à gauche d’une maison de pierre. En s’enfonçant dans les sous-bois, nous avons vu sur notre droite une coulée d’orgue volcanique qui forme un mur de pierre noire sur plusieurs mètres. C’est plutôt stupéfiant et impressionnant ! ? En continuant sur ce sentier, nous pouvions entendre le ruisseau qui coulait en contrebas. Et dans le calme du matin, le chant des oiseaux et le clapotis de l’eau faisaient un bien fou. C’est ça la vie ! ?

Ce jour-là, le sentier relayait plusieurs hameaux et villages les uns aux autres et nous avons souvent marché aux abords des champs ou sur les bords de routes.

Après 1h-1h30 de marche et après être tombées nez à nez avec un troupeau de vaches qui rentraient dans leur champs, nous avons rejoint le village d’Olby . Olby est un joli village qui semblait plutôt paisible ce jour-là. Nous avons tout d’abord été accueillies par le sourire d’un vieux monsieur qui nous a souhaité « bonne chance », puis par une petite chatte noire et blanche très sociable, pour terminer par un au revoir par une gentille chienne qui est venu nous chercher pour avoir des caresses sur le ventre.

Attention, Olby est le dernier village où il est possible de se ravitailler (au Vival) avant la fin du trek ! Depuis le village, nous avons repris la route et nous nous sommes dirigées vers le hameau de La Gardette . Trois kilomètres plus loin environ, nous sommes arrivées à Mazayes , un village calme et mignon fait de maisons en pierres volcaniques noires.

Nous sommes arrivées un peu tôt car cette étape de la Boucle des Dômes était très courte, nous avons donc pique-niqué sur une table en bois en contre-bas de la mairie jusqu’à ce qu’il ait été possible pour nous de monter au gîte.

Bilan rando : 15 km en 4 heures de marche environ.

Gîte communal de Mazayes

Mairie de Mazayes – Mazayes Basse 63230 Mazayes 04.73.88.90.95.

Le Gîte communal de Mazayes se trouve au dessus de la mairie du village. C’est un dortoir de 18 lits avec 2 douches, un wc et un coin cuisine. Attention, il n’y a pas d’épicerie ou de commerces à Mazayes, il faut donc prévoir à l’avance (Olby au plus tard) pour emporter de quoi manger pour le soir et le petit-déjeuner du lendemain matin.

Pour ce troisième jour sur la Boucle des Dômes, nous sommes parties de notre gîte à Mazayes vers 9h du matin, sous un superbe temps (ciel bleu et grand soleil) et une température relativement fraiche.

La première partie de cette journée s’est faite sur la route, mais avec un paysage charmant où l’on traverse les nombreux hameaux qui constituent le village de Mazayes : Mazayes Basse , le Petit Chambois et le Grand Chambois jusqu’à rejoindre la forêt peu après ce dernier hameau. Cette forêt était magnifique, une mousse verte éclatante éclairée par des filets de lumières qui traversaient les feuillages, c’était un plaisir de marcher dans cette atmosphère.

Nous avons été dans la forêt tout au long de la première partie de la journée, jusqu’à la D559, mais aussi après avoir traversé la route et encore en montant jusqu’à 1026 mètres d’altitude sur les flancs du Puy de Cômes , que la Boucle des Dômes contourne. Nous avons d’ailleurs décidé de manger au soleil dans une petite clairière en contrebas du cratère du volcan, mais nous avons eu du mal à trouver un lieu où nous n’allions pas avoir les fesses trempées car le temps humide des deux jours précédents avait joué son rôle. Pour ce dernier pique-nique, ce fut bref mais intense.

Après mangé, nous sommes passées près des volcans du Grand Suchet et du Petit Suchet sans vraiment pouvoir les voir car ils étaient cachés par les arbres. Puis est arrivé le moment de la randonnée où nous sommes sorties de la forêt et face à nous se tenait… le Puy-de-Dôme lui-même, majestueux sous le soleil de l’après-midi !

Autour de lui beaucoup de parapentistes volaient, plus d’une dizaine en même temps étaient visibles par moment. Nous avons donc commencé l’ascension du Puy-de-Dôme . La montée est relativement facile si ce n’est pour les marches qui rendent l’ascension plus sportive. Le sentier à été aménagé avec des escaliers de bois pour préserver le site de l’action humaine et limiter l’érosion.

La plateforme principale  se situe à 1415 mètres d’altitude . C’est là que se trouve la gare d’arrivée du train à crémaillère du Puy-de-Dômes ainsi que la Maison de Site . Depuis cette plateforme, nous avons continué notre chemin, cette fois tout en descente, vers notre lieu d’arrivée. Nous avons donc pris les 14 virages numérotés qui redescendent jusqu’au Col de Ceyssat puis nous avons retrouvé un sentier que nous avions pris le premier jour, mais que nous n’avons pas reconnu de suite. Et oui, entre le brouillard et la pluie du premier jour et le soleil de fin de journée du dernier jour, la vision que nous avons eu n’était pas la même. Au moins nous avons terminé notre trek sur une note positive ! ?

Bilan rando : 17 km en 5h40 de marche environ.

La Boucle des Dômes est un trek très sympathique avec un dénivelé très bas et un niveau facile . Néanmoins, il est très agréable de marcher dans le calme des forêts de la Chaîne des Puys et sur les plateaux qui nous permettent de voir certains volcans au loin.

• Retrouvez la fiche de cette rando sur le site de l’office de tourisme .

Quelques ressources supplémentaires pour découvrir la région autour de la Boucle des Dômes :

• Le topoguide de la FFRandonnée Volcans et lacs d’Auvergne
• La carte IGN de la Chaîne des Puys
• Destination Chaîne des Puys : livres présentant plein de balades pour découvrir les volcans d’Auvergne
• Guide Vert Michelin – Weekend à Clermont-Ferrand

Si vous cherchez une randonnée de quelques jours, plutôt simple mais permettant de trouver le calme de la nature, ce trek est fait pour vous. L’Auvergne vous accueillera chaque soir avec des habitants souriants et des plats typiques à tomber par terre : Aligot, Truffade et plateaux de fromages seront vos amis.

Bien sûr, les itinéraires de randonnée ne manquent pas en Auvergne ! Pour preuve, nous vous invitons à lire l’article de Grégory d’i-Trekkings qui partage dans un article complet son expérience de 5 jours de randonnée du Puy de Dôme au massif du Sancy .

Trouvez le matériel qu’il vous faut chez l’un de nos partenaires d’équipement outdoor.

• Hardloop.fr, le spécialiste français de l’équipement technique outdoor. Vous y retrouverez les meilleures marques de randonnée.
• Décathlon propose une gamme d’équipements trekking Forclaz au rapport qualité/prix très intéressant.

Les articles complémentaires qui pourraient vous intéresser :

• Visiter Clermont-Ferrand, quoi voir et quoi faire
• Retrouvez tous nos treks et randonnées en France ou dans le monde
• Pour être au top pour votre randonnée, lisez notre article complet sur la préparation physique pour la randonnée

Vous vous lancez dans votre premier trek ?

Notre guide pratique et illustré « Premiers réflexes spécial trekking » pourra sûrement vous être utile. Il est disponible en librairie physique et en ligne !

Ce guide est l’allié idéal pour débuter en trekking sereinement et se lancer dans ses randonnées itinérantes en pleine confiance !

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Les Géonautrices

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Cet article a 25 commentaires.

Je confirme, superbe randonnée de 3 jours dans des lieux magnifiques. Le brouillard avait l’avantage en cette période d’automne d’entretenir une atmosphère magique dans les sous bois. Comme l’a dit Oscar Wilde: « La beauté est dans les yeux de celui qui regarde »

Haha, pas mal la citation Mam’s ! 🙂

je valide trop ce trek ! Ca a l’air vraiment génial! Ca fait un moment que l’Auvergne m’appelle je note ce coin! et PS: votre petite marmotte là elle est trop chou d’amour!!!

C’est effectivement un trek super sympa. L’avantage qu’il a,c’est que je pense qu’il peut être fait en toute saison, même en hiver avec un bon équipement vestimentaire. Donc peu importe la période où tu y vas, tu tireras toujours quelque chose de superbe de ces paysages ! 🙂 Haha, c’est notre nouvelle mascotte, on lui cherche un nom maintenant ^^

Les forêts ont l’air superbes ! Très bonne idée de randonnée.

Hello Les Baroudeurs ! Les forêts étaient magnifiques en effet ! On a adoré ! 🙂 N’hésitez pas à faire cette rando si vous en avez l’occasion !

Super ! C’est notre prochaine rando de prévue Vous êtes parties avec des sacs de quelle contenance, combien de litres ?

Hello ! Cool, vous allez voir c’est un trek très sympa !! Pour les sacs, on avait 20 litres chacune pour les trois jours.

Bonjour et merci pour ce super récit. Nous avons repéré cette randonnée et nous envisageons de la faire très prochainement. Sur les différentes présentations que nous avons pu trouver à droite et à gauche , il est marqué que cette boucle peut être faite en 2 jours. Qu’en pensez vous, cela vous parait il envisageable sans trop se presser? Dans ce cas, où faut il passer la nuit pour que les deux journées soient équilibrées? Merci pour votre aide

Salut Zodo et merci de nous lire. Effectivement, niveaux temps et kilomètres, c’est possible de la faire en deux jours. Mais c’est bien sur le plan logement que ça ce complique. Il n’y a pas de gîtes ou d’hôtel à mi-chemin. Il y a probablement la possibilité de dormir à Olby, mais vous aurez une longue journée le lendemain en sachant qu’il y a le Puy-de-Dôme à grimper à la fin. Sinon l’autre option serait peut-être de camper, mais ça me semble compliqué aussi car entre là où nous nous étions arrêté la première nuit et là où nous avions dormi la seconde, il ne me semble pas que le terrain était approprié (c’était beaucoup d’exploitations agricoles). Mais comme ils disent sur le topo, en demandant aux agriculteurs directement, il y a peut-être possibilité. Sinon l’idée serait d’aller jusqu’à Mazayes le premier jour pour avoir assez de temps le lendemain pour terminer (en comptant le temps pour monter au Puy-de-Dôme et un peu de temps pour rester en haut), ça fait beaucoup d’heure de marche, mais c’est pas impossible.

Quel paysage magnifique, merci pour ces photos 🙂 ! Cela doit être super de partager cette expérience avec une autre personne. Se retrouver dans la nature et de voir à quel point nos problèmes du quotidien sont insignifiants.

Merci à toi de nous avoir lu Florent !! ^^ Nous sommes tellement d’accord avec ce que tu dis là. Nous sommes d’ailleurs nous-même toujours mieux dans la nature que lorsque nous sommes en ville. Ça permet de faire le vide et de sentir qu’il y a beaucoup de pression inutile en ville.

Merci à vous pour le blog 🙂 !

La rando a l’air superbe, ça me donne tellement envie d’explorer l’Auvergne et de découvrir la chaîne des puys ! Je me la note pour ma prochaine visite dans la région, merci 🙂

Salut Céline ! Oui, si tu as l’occasion cette rando est vraiment sympa à faire ! Et les paysages sont super beaux ! 😉

Salut, dis moi pour l’approvisionnement en eau, est-ce que vous avez croisé de nombreux ruisseau le long de la rando ou pas ?

Bonjour Laura, non, il n’y avait pas beaucoup de ruisseaux sur ce chemin mais plusieurs fontaines dans les villages. Télécharge le PDF de la randonnée qui est à la fin de notre article, il y a toutes les informations dessus.

Je ne connaissais pas cette boucle mais je la garde en mémoire pour l’été prochain, ça a l’air très chouette !

C’était vraiment une boucle agréable en effet, tu devrais bien en profiter !

Bonjour, nous partons pour faire la boucle des dômes, votre blog nous a inspiré 🙂 Par contre, j’ai une question « organisation », vous avez indiqué avoir laissé votre voiture au parking des dômes, ce qui nous arrangerait bien pour équilibrer les journées. Mais j’ai lu qu’il était interdit d’y laisser la voiture la nuit. Comment avez-vous fait ? Merci !!

Bonjour Géraldine, Et bien pour le coup, on a fait exactement ce qu’on a dit dans notre article, on a laissé la voiture sur le parking des Dômes. Nous avons fait cet itinéraire il y a 5 ans maintenant, il est fort possible qu’à ce moment-là il n’y avait pas cette interdiction de stationner un véhicule pendant la nuit. Une solution possible est de démarrer ton itinéraire à Laschamps par exemple, le premier village traversé sur l’itinéraire. La boucle sera la même, tu la commenceras et terminera juste ailleurs. Sinon il faudra laisser le véhicule là où tu pourras prendre un bus pour rejoindre la gare du panoramique des Dômes.

bonjour j’ai lu que le parking était interdit la nuit. Vous n’avez pas eu de souci en ce sens?

Bonjour Gaëlle, le parking n’était pas encore interdit à l’époque où nous avons fait l’itinéraire. À aujourd’hui, il vaut mieux trouver une autre solution.

Les paysages ont vraiment l’air magnifique

Magnifique, merci pour avoir partagé votre expérience !

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Jour de match 917 : France-Belgique

Les défaites consécutives en compétition, les matchs joués un 9 septembre, Griezmann un pied sur le podium des joueurs les plus sélectionnés, le bilan contre la Belgique en compétition et autres stats à surveiller.

3 minutes de lecture

C’est le code barres de France- Belgique .

917e match depuis 1904 : 460 victoires, 193 nuls, 263 défaites, 1647 buts marqués, 1243 encaissés 399e match de compétition  : 228 victoires, 87 nuls, 83 défaites, 772 buts marqués, 390 encaissés 20e match de Ligue des Nations  : 10 victoires, 4 nuls, 5 défaites, 27 buts marqués, 22 encaissés 470e match à domicile  : 274 victoires, 90 nuls, 105 défaites, 956 buts marqués, 534 encaissés 77e match contre la Belgique  : 27 victoires, 19 nuls, 30 défaites, 132 buts marqués, 162 buts encaissés

La question : trois défaites consécutives en compétition, quels précédents ?

Si la défaite contre l’ Espagne en juillet a arrêté plusieurs séries positives, celle face à l’ Italie vendredi en a amorcé une négative et plutôt inquiétante : deux échecs d’affilée en compétition. L’affaire est assez rare pour être soulignée : depuis que Deschamps est sélectionneur, c’est même une première. Le précédent était arrivé juste avant, en juin 2012 quand les Bleus de Laurent Blanc avaient plié deux fois contre la Suède (0-2) et l’ Espagne (0-2). Sinon, depuis 1904, jamais les Bleus n’ont perdu trois matchs consécutifs en compétition.

Plus exactement, quand c’est arrivée, il y avait au moins un amical intercalé. Ce dernier pouvait aussi avoir été perdu, d’ailleurs, comme en 2010, où les Bleus de Domenech s’étaient inclinés à la Coupe du monde (Mexique 0-2, Afrique du Sud 0-2) et ceux de Laurent Blanc avait perdu leur premier match de compétition (Biélorussie, 0-1). Juste après une défaite amicale en Norvège (1-2). En 2008, c’était un peu la même chose avec deux échecs à l’Euro (Pays Bas 1-4 et Italie 0-2) et un autre en septembre en qualification pour la Coupe du monde ( Autriche , 1-3). Mais l’amical intercalé avait été gagné (Suède, 3-2). Ce sont les seuls cas, depuis 1908 et en 398 matchs de compétition, où les Bleus ont perdu trois fois d’affilée.

Jouer un 9 septembre

Il aura fallu attendre 1981 pour voir un match des Bleus un 9 septembre, et ça avait mal commencé, par une défaite à Bruxelles contre… la Belgique , merci pour le souvenir. Les trois suivants n’étaient guère mieux, avec une autre défaite en Bulgarie en 1992 et deux nuls à Moscou contre l’URSS en 1987 (plutôt un bon résultat, mais l’élimination était déjà acquise) et en 2009 en Serbie, où Lloris avait été expulsé à la 9e minute pour sa cinquième sélection. La seule victoire remonte à 2018, contre les Pays-Bas en 2018 pour le premier match à domicile après la Coupe du monde en Russie. Et ça, c’était enfin un très bon souvenir.

–   Belgique (1981) à Bruxelles - 0-2 - qCM –  URSS (1987) à Moscou - 1-1 - qEuro –  Bulgarie (1992) à Sofia - 0-2 - qCM –  Serbie (2009) à Belgrade - 1-1 - qCM –   Pays-Bas (2018) à Saint-Denis - 2-1 - qLN –   Belgique (2024) à Lyon - LdN

Les stats à surveiller

–  S’il joue contre la Belgique , Antoine Griezmann prendra à Olivier Giroud la troisième place au classement des sélections. Il en aura 137, comme l’ex-Milanais, mais avec un temps de jeu très largement supérieur (environ 2600 minutes, soit plus de 43 heures, l’équivalent d’une trentaine de matchs). Il n’est actuellement qu’à 9 sélections du record de Lloris, qu’il pourrait battre en 2025. –  Si Griezmann et Mbappé ne sont pas titulaires à Lyon, et après la fin de carrière internationale de Giroud, l’attaque des Bleus sera considérablement affaiblie : les deux premiers pèsent en effet 92 buts et le troisième 57, ce qui fait 149 buts pour le trio. Les quatre attaquants restants du groupe actuel (Dembélé, Kolo Muani, Thuram et Barcola) totalisent ensemble… 13 buts, soit onze fois moins. Bon courage. –  La Belgique en compétition, un adversaire facile ? Oui, enfin, surtout en phase finale (6 victoires en 6 matchs depuis 1938). En phase qualificative, avec 3 défaites, 3 nuls et 2 victoires en 8 confrontations, le bilan est tout de suite beaucoup moins flatteur. Quant à la dernière victoire à domicile, elle remonte à 40 ans (5-0 à Nantes en 1984). il y a eu depuis deux nuls et deux défaites. –  Commencer une saison par une défaite, ce n’était pas arrivé depuis longtemps. Il faut remonter à la fin de l’été 2010 pour voir les Bleus perdre non seulement leur premier match (Norvège, 1-2) mais aussi le deuxième (Biélorussie, 0-1) pour les débuts de Laurent Blanc . Idem en 1992, avec deux échecs pour Gérard Houllier contre le Brésil (0-2) et en Bulgarie (0-2). Et en 1981 pour Michel Hidalgo face à la Belgique (0-2) et l’Irlande (2-3), le tout après un amical (non officiel) perdu en août contre Stuttgart (1-3). –  Lucas Digne n’a perdu que 6 fois en 46 sélections. Il n’était pas à l’Euro et n’a pas joué contre l’ Italie , ce qui lui a permis de préserver son bilan. Mais son dernier match en Bleu, en juin 2022 contre la Croatie, est une défaite. Et c’était à domicile, en Ligue des Nations.

Les joueurs et les buteurs contre la Belgique

Il y a eu 483 Bleus alignés au moins une fois contre la Belgique lors des 76 matchs depuis 1904. Roger Marche est le plus fréquent avec 10 sélections, devant Etienne Mattler (8), Edmond Delfour, Jean-Jacques Marcel, Jean Vincent, Raymond Dubly, Jules Devaquez et Raymond Kopa (7).

Côté buteurs, ils sont 76 à avoir marqué. Jules Devaquez, Jean Nicolas et Thadée Cisowski sont en tête (5 buts), devant Jean Vincent, Emile Veinante, Roger Courtois et Marcel Pinel (4), puis Michel Platini , Jean-Pierre Papin, Raymond Kopa, Jean Baratte, Gabriel Hanot et Roger Rio (3).

Les Belges sont 381 à avoir affronté l’équipe de France depuis 1904. Ce sont les attaquants Jef Mermans et Bernard Voorhoof qui l’ont fait le plus souvent (11 fois) devant Raymond Braine, Pierre Braine, Joseph Musch Jef Jurion (9), Pol Arnoul, Armand Swartenbroeks, Désiré Bastin, Louis Carré et Victor Mees (8) Pierre Hanon, Florimond Vanhalme, Oscar Verbeeck, Jan De Brie, Camille Van Hoorden, Robert De Veen, Bob Paverick et Arnold Badjou (7). Parmi eux, 78 ontmarqué, le plus fréquent étant Robert De Veen (13 fois) devant Jef Mermans (9 buts) et Bernard Voorhoof, Paul Van Himst, Stanley Vanden Eynde et Michel Van der Bauwhede (5) .

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J’irai randonner chez vous ! (épisode 2): La Forêt d’Anlier

J’irai randonner chez vous (épisode 1) – la vallée de…, la rando bivouac des sentiers de grande randonnée, séjour randonnée à l’hôtel meridional, 10 bonnes raisons de voyager en crète, mon séjour hivernal dans le vercors, mon roadtrip en islande avec les nordic nomads, sacs à dos de randonnée : conseils pratiques, bivouac en belgique : microaventure en pleine nature, cabane et liberté avec obanoa, week-end en ardenne à center parcs, nature et terroir en wallonie picarde, roadtrip hivernal en van aménagé dans vosges, mon road trip en norvège avec nordic nomads, découverte de la région de fribourg et la gruyère (suisse), balades et détente en haute ardenne, test du crosscall action x-5, test de la montre outdoor polar grit x, test du smartphone crosscall core-x4, profiter de la suisse sans skier : découvrez les merveilles en…, 10 bonnes raisons de voyager seul(e), le mullerthal, la petite suisse luxembourgeoise.

Entre cascades et somptueux rochers de grès, en passant par des labyrinthes naturels en plein cœur de la foret, j’ai découvert grâce à Alexandre cette magnifique région à deux pas de chez nous il y a quelque temps et je me devais de vous en parler…

A peine à deux heures de route de la Belgique, la Petite Suisse luxembourgeoise (également nommée Mullerthal ) est le nom donné à la région dans l’est du Grand-Duché de Luxembourg à proximité de la frontière allemande. Son nom de « Petite Suisse » lui vient du paysage vallonné des vallées de la région. Le point culminant n’est pourtant que de 414 mètres d’altitude. Géologiquement, elle est caractérisée par de spectaculaires amoncellements de grès de Luxembourg aux couleurs particulières.

La région est assez touristique en haute saison, mais cela n’empêche pas d’y passer de beaux moments et de croiser de marcheurs qui souvent sont là pour les mêmes choses que vous : la beauté des lieux, le calme, la nature. Personnellement je choisis des périodes plus « calmes » pour m’y rendre et profiter un maximum de l’endroit et de sa tranquillité.

Dans toute la région, les randonneurs ont à leur disposition un réseau de promenades avec balisage uniforme  qui permettent de découvrir à les formations spectaculaires de rochers, les vallons et châteaux romantiques et des vues surprenantes sur la Vallée de la Sûre . Les villages pittoresques de la région et les imposantes ruines des châteaux de Beaufort et de Larochette tout comme la cascade du Schiessentümpel méritent la visite.

Le Mullerthal Trail :

Les Routes 1 et 2 passent par la Ville d’Echternach qui est le centre touristique et culturel de la région.

– Sur la Route 1 qui passe par Echternach, le randonneur peut admirer les sites culturels et les éléments de paysage typiques de la région comme forêts, prés et champs .

– La Route 2 passe par le centre de la Petite Suisse Luxembourgeoise avec ses formations rocheuses spectaculaires, ma préférée !

– La Route 3 se caractérise non seulement par des formations rocheuses , mais également par des merveilleux vallons et des châteaux romantiques.

Les chemins sont reliées entre eux mais peuvent également être fait à part. Le randonneur peut commencer son parcours des différentes localités de la région de sorte à pouvoir organiser ses randonnées de manière très individuelle.

Le Mullerthal Trail compte en outre quatre «  ExtraTours »  qui sont également des sentiers très intéressants qui se prêtent à merveille comme tours d’initiation ou tours complémentaires aux grandes routes. Le randonneur peut entamer son parcours confortablement et en toute sécurité sans avoir peur de se perdre, ce qui est dû au balisage uniforme du Mullerthal Trail et de ses ExtraTours.

D’autres d’activités sont également possibles : parcours VTT, canoë sur la Sûre, camping, escalade, gastronomie, musées, sites archéologiques,…

Les carte de randonnée ou touristiques s’achètent sur place (campings/office du tourisme d’Echternach/…) mais il en existe aussi en ligne.

Mes coups de cœurs de la région  :

J’apprécie particulièrement cette région vous l’aurez compris où il règne une ambiance que je qualifie de rustique, de simple. A deux pas de l’Allemagne, le côté « germano » se fait ressentir dans la consonance des villages alentours et dans les dialogues des habitants de la région, que ce soit en commandant du pain ou en demandant votre chemin. Les sentiers de randonnées et la nature qui les entoure semblent faire partie intégrante du patrimoine et des mœurs. Il arrive en effet de croiser des villageois en plein milieu de la foret qui comme vous flirtent avec cette belle région.

A l’entrée de la foret, il propose de chouettes emplacements aux commodités très bien entretenues. Il y a aussi la possibilité de louer un « pod », un genre de petit chalet moderne pour 2/3 personnes, idéal quand il fait plus froid ou que vous cherchez un peu d’originalité et de confort dans votre séjour.

Il y a aussi possibilité de faire des grillades sur place grâce aux « coins feus » plutôt bien conçus… miam !

Le camping est juste à côté des chemins de randonnées qui offrent directement des paysages sympathiques, quelques  plateaux panoramiques qu’il faut un peu chercher, mais aussi des méandres entre les rochers.

Il arrive aussi à certains endroits de devoir choisir entre le chemin normal ou des  passages  souterrains , ou entre 2 parois, plus ou moins longs (10 à 50 m) …  j’adore ! 🙂

Un must dans la région, pas trop loins du village « Mullerthal » est la cascade  Schiessentümpel , très jolie avec son petit pont.

Le château de Beaufort quant à lui est à la fois beau et impressionnant, en plein cœur d’un fond de vallée et juste devant son homologue plus récent.

Il est aussi intéressant de s’arrêter pour manger dans une auberge typique un plat régional accompagné d’une bonne bière.

Il reste encore beaucoup à voir, je vous laisse donc la surprise et vous invite à me donner votre avis sur cette magnifique région ! 😉

Comment s’y rendre ?

Vous pouvez commencer votre randonnée de n’importe ou sur le tracé. Personnellement je démarre souvent de Berdorf , près de la caserne des pompiers, où il y a un parking juste en face du camping.

Autres infos :

http://www.mullerthal.lu/

http://www.visitluxembourg.com/fr/ou-aller/region-mullerthal-la-petite-suisse-luxembourgeoise

http://www.berdorf-tourist.lu/fr

http://www.la-petite-suisse.lu/?q=de/node/94

http://www.luxembourg.public.lu/fr/tourisme/regions-touristiques/mullerthal/index.html

http://www.mullerthal-trail.lu/le-trail

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merci pour ces superbes articles riches de magnifiques photos et de renseignements precieux

Chouette article qui nous donne envie d’aller s’y balader en juin …

Une idée de si il est possible de faire du bivouac dans le coins ?

Merci à toi !!

Merci Maxime, nous sommes Liégeois et aimant tout comme toi, ce genre de coins! Ces petites infos nous seront très utile pour planifier notre séjour Rando- camping. Clair et bien décrit… que demander de plus Très sympa à toi, merci

Merci pour cet article. Superbe région. 3 jours de rando entre amis. Magnifique paysage.

Bonjour maxime, Merci pour ton article. Pour la route 2, penses-tu que ce serait réalisable avec des baskets de Le temps est très sec en ce moment et je projette d’y aller ce week-end…

Baskets de trail ( semelle avec de légers crampons )

[…] Si vous venez au Luxembourg, nous vous conseillons de passer par le Mullerthal. Cette région, surnommée « Petite Suisse Luxembourgeoise« , est une superbe endroit pour faire une randonnée au milieu de lacs, de cascades et de roches immenses. Trois routes de randonnée sont proposées : le Mullerthal Trail, certifié par le label « Leading Quality Trails – Best of Europe ». Ces sentiers passent par différents villages, mais surtout par des points très touristiques comme la cascade Schiessentümpel et Kallektuffquell (une source de tuffeau aux couleurs incroyables).Pour en savoir plus que cette région, vous pouvez vous rendre sur ce site. […]

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